[Terres sauvages] Balade au vert [pv Iron Man]

1- Une journée comme toute les autres

Dans les vastes étendues des Terres Sauvages, là où la nature est reine et où les mystères préhistoriques abondent, se balade Skaar. Sakaarson, il a été élevé dans les profondeurs de Sakaar et cet environnement hostile, lui rappelle sa maison. Ajourd’hui, alors qu'il arpente les sentiers sinueux et touffus de la jungle, les rugissements retentissants de deux monstres préhistoriques se font entendre à travers la canopée dense. Intrigué, Skaar se faufile furtivement à travers les arbres, guidé par la curiosité et l'excitation de ce spectacle qui se déroule devant lui.

Dans une clairière ombragée, il découvre le spectacle saisissant d'un combat titanesque entre deux des créatures les plus redoutables de l'ère préhistorique : un Tyrannosaurus Rex colossal et un Triceratops massif. Leurs silhouettes imposantes se dressent contre le ciel, leurs rugissements résonnant comme des tonnerres dans toute la jungle.

Le combat est une danse chaotique de force brute et de férocité. Les deux géants préhistoriques s'affrontent avec une intensité sauvage, échangeant des coups dévastateurs qui font trembler le sol sous leurs pieds massifs. Les mâchoires acérées du T-Rex menacent de broyer les défenses du Triceratops, tandis que les cornes tranchantes de ce dernier cherchent à percer la peau épaisse de son adversaire.
La lutte atteint son paroxysme lorsque le Triceratops, dans un acte de désespoir, charge le T-Rex avec toute sa force. Mais le prédateur agile se dérobe habilement, esquivant l'attaque imminente et ripostant avec une féroce morsure à la gorge. Le sang chaud et la rage palpitante emplissent l'air alors que les deux monstres continuent de se battre pour leur survie.

Soudain, un événement imprévu vient perturber le tumulte de la bataille. Dans un mouvement désespéré pour éviter une attaque mortelle, le Triceratops se détourne brusquement et percute un arbre massif qui surplombe un ravin. L'impact secoue la jungle, faisant trembler les arbres alentour, et un œuf énorme tombe du nid de ptéranodons niché dans les branches, dévalant la pente escarpée en direction du cours d'eau en contrebas.

Skaar, témoin de cet événement imprévisible, est submergé par un instinct de survie et de protection. Sans hésiter, il se lance dans une course effrénée à travers la végétation dense, esquivant les dangers mortels qui se dressent sur son chemin. Les rugissements des dinosaures résonnent dans ses oreilles alors qu'il se précipite vers le précieux œuf qui roule dangereusement vers le ravin.

Avec une agilité surhumaine et une détermination sans faille, Skaar parvient à attraper l'œuf juste avant qu'il ne plonge dans les eaux tumultueuses du ravin. Son cœur bat la chamade, son souffle est court, mais il tient fermement la vie fragile entre ses mains. Puis, en quelques bonds, il remonte pour replacer l'œuf sous la surveillance courroucé des parents.


2-Une épilation ?

Mais absorbé par ces retrouvailles, un soudain tir de rayon laser fendit l'air près de lui, manquant de peu sa silhouette agile. Surpris, il se figea, son instinct de guerrier se réveillant instantanément.
À quelques mètres de lui, un Velociraptor surgit de l'ombre, portant un casque visiblement endommagé et une étrange arme harnachée sur son dos. Le regard de la bête trahissait la confusion et la peur, loin de l'image redoutable et impitoyable associée à ces prédateurs préhistoriques. Skaar se mit en mouvement, esquivant habilement les tirs laser qui fusaient autour de lui. D'une rapidité fulgurante, il se rapprocha du Velociraptor, pour comprendre la nature de l'agression.

Avec un cri de détermination, Skaar se jeta sur le dinosaure, s'accrochant fermement à lui pour arracher le casque endommagé et défaire le harnais qui entravait sa liberté. Malgré les tentatives désespérées de la bête apeurée pour se débattre, Skaar tint bon, ses mains agiles accomplissant leur tâche avec une précision implacable. Une fois libéré de son équipement oppressant, le Velociraptor sembla se calmer, ses cris de terreur cédant la place à une respiration haletante et tremblante. Les yeux de la créature rencontrèrent ceux de Skaar, empreints de reconnaissance et de gratitude pour cet acte de sauvetage inattendu.

Dans cet échange inattendu entre un guerrier humain et une bête préhistorique, une lueur de compréhension mutuelle brilla, brisant les barrières de la peur et de la méfiance. Avec un dernier regard reconnaissant, le Velociraptor s'éloigna dans les profondeurs de la jungle, laissant Skaar seul après cet échange improbable mais significatif.


3- Une journée sans baffes est-elle une rose sans parfums ?

L’altercation avait fait fuir les combattants, visiblement les rayons laser les avaient convaincus que c’était un mauvais endroit pour une querelle. Alors que Skaar s'éloignait de la clairière, portant le matériel sous un bras et se déplaçant avec une grâce féline d'une liane à l'autre, un vrombissement soudain fendit l'air paisible de la jungle. Ses sens aiguisés se mirent en alerte, et instinctivement, il posa le matériel au centre de la clairière avant de se fondre dans l'ombre des arbres environnants, son cœur battant au rythme de l'anticipation.

Un petit appareil biplace se posa avec une légèreté inattendue, brisant le silence de la clairière de ses turbines en rotation. Deux hommes en armure noire en émergèrent, leurs pas lourds résonnant sur le sol moussu. Leurs postures étaient celles de guerriers rompus à la bataille, leurs fusils énergétiques tenus fermement en position de combat.

Skaar observa silencieusement depuis sa cachette, ses muscles bandés comme ceux d'un félin prêt à bondir. Les hommes en armure inspectèrent rapidement les environs, puis le matériel abandonné, leur attention focalisée sur leur mission. et alors que le premier soldat inspecter le matériel le second entrait en communication :

“Matériel récupéré, aucune trace du cobaye, terminé.”

Il était en train de ranger son communicateur quand le premier guerrier l'interpella par l'interpellation habituelle des imprévus.

“MERDE, regarde, aucune déchirure sur le harnais.”

Profitant de leur concentration intense, Skaar décida de passer à l'action. Iil se jeta hors de sa cachette, utilisant le véhicule comme couverture pour se rapprocher silencieusement de ses adversaires. Son arrivée fut un éclair de mouvement, une silhouette sombre se fondant dans l'obscurité de la jungle avant de surgir soudainement devant les hommes en armure.

Le combat qui s'ensuivit fut une danse mortelle de force et de vitesse. Skaar bénéficiant de la surprise, parvint à détruire le communicateur de ses adversaires, sa main se referment brutalement sur le module à l'oreille muni d'une antenne. Les hommes en armure ripostèrent avec une discipline militaire, leurs tirs énergétiques crépitant dans l'air alors qu'ils tentaient de repousser l'assaillant inattendu.

Dans le chaos de la bataille, Skaar parvint à désarmer ses adversaires, utilisant sa force surhumaine pour les maîtriser sans les blesser mortellement. Avec une habileté impressionnante, il les désarma un par un, les privant de leurs armes et de leur capacité à combattre. Une fois les hommes en armure neutralisés, Skaar entreprit de les dépouiller de leur équipement, révélant les visages fatigués et tendus sous les casques. Utilisant des lianes robustes tressées à partir des arbres environnants, il les attacha solidement, s'assurant qu'ils ne puissent ni s'échapper ni donner l'alerte.

Enfin, avec un calme déterminé, Skaar sortit de sa propre sacoche un appareil de communication, se préparant à prendre contact avec ses propres alliés pour informer de la situation.

Une heure s'est écoulée depuis notre arrivée, une attente qui semble s'étirer comme un éternel crépuscule dans ce lieu isolé, au cœur de la nature sauvage. Mais je ne peux guère être surpris par cette durée. Après tout, ce n'est pas comme si nous étions juste au coin de la rue, et en fait, une heure de réponse est déjà un délai étonnamment court compte tenu des circonstances.

L'urgence est ma première priorité : mettre les prisonniers à l'abri sous la canopée des arbres, effacer toute trace du combat et du harnais, car des intrus peuvent débarquer à tout moment. Chaque geste est réalisé dans l’urgence car les renforts peuvent débarquer à tout moment. Je dois avoir disposé en conséquence le champ de bataille.

Ensuite, un rapide coup d'œil à l'aéronef. Les systèmes de cartographie sont là, silencieux et imperturbables, offrant un potentiel d'information précieux, même si je ne peux pas accéder à leurs bases de données. C'est un atout que nous devons exploiter au mieux dans notre quête pour démêler les fils de cette conspiration.

Enfin, le moment tant redouté arrive : réveiller l'un des prisonniers pour lui poser des questions. Quand Iron Man fait son entrée, je sors de ma cachette en déposant le rocher que j'avais à la main, mon cœur battant à tout rompre dans ma poitrine. J'ai beaucoup entendu parler de lui, en bien et en mal, et maintenant, nous sommes sur le point de collaborer dans cette mission.

“Skaar, nous nous connaissons de nom, vous avez rapproché mes parents, merci." Un sourire ironique se dessine sur mes lèvres, un mélange de gratitude et de méfiance à l'égard de ce guerrier qui semble toujours sur ses gardes. Ce n’était pas la bonté qui l’avait motivé mais la peur, mais j’en était le fruit indirect. De plus, ce jour, nous avons un objectif commun.

Je désigne les prisonniers, relativement indemnes malgré leurs sous-vêtements souillés, et je raconte mon combat pour obtenir des informations. "Ils ne voulaient pas parler, réaction typique de leur prétendue intelligence supérieure face à un homme sauvage. Mais après leur avoir montré..." Je brandis une broche en bois taillée grossièrement, un sourire joueur étirant mes lèvres. "Aucun d'eux n'était particulièrement enchanté à l'idée de finir dans mon assiette."

Lorsque je mentionne la Roxxon, je sens le regard de Iron Man se durcir. “L’engin volant à une base de données cartographique.”

“Visiblement, il faut compter une base sur une île volcanique, au large avec des dizaines de gardes en armure.” Je montre les deux exemplaires récupérés.
“Et des cobayes…” Je montre le harnais

“Le casque est fragile mais prend le contrôle de l’animal, mes deux nouveaux copains testait ce joujou, mais la fragilité du casque a fait que l’animal s’est sauvé. D'après eux, celà ne sera pas aussi facile avec les modèles précédents.” Soulevant les épaules. “Ça va être sympa de se faire tirer dessus par ceux que l'on veut sauver. Bon, on y va comment ?

Une idée ?”

Une lueur de réflexion dans ses yeux, visiblement j’ai commencé à y réfléchir "Dans l'idéal, il faudrait les attirer dans un coin pendant que l'on prend le contrôle de leur QG, car ils vont s’attendre à un truc comme la radio grésille depuis 5 minutes.

Vous faites l’espion et moi la brute ? Cela serait plus efficace que d'assommer toutes les bestioles. "

Les profondeurs enchevêtrées de la jungle semblaient s'étendre à perte de vue, une mosaïque dense de verdure impénétrable. Les frondaisons épaisses des arbres s'élevaient vers le ciel, créant un dôme verdoyant qui obscurcissait la lumière du soleil, laissant filtrer seulement de rares faisceaux lumineux qui se faufilaient à travers les feuilles. Dans cet écosystème sauvage où chaque bruissement de feuille pouvait signifier la présence d'un prédateur tapi dans l'ombre, on devait trouver une base mobile, facile !

Mes pieds nus se posaient avec une assurance féline sur le sol humide, ignorant les racines noueuses et les lianes pendantes qui tentaient de freiner mon avancée. J’avais été élevé dans un monde sauvage, façonné par ses défis et ses dangers. Mais aujourd'hui, il marchait seul, son esprit focalisé sur une seule mission : trouver la base mobile ennemie qui se cachait quelque part dans ce dédale végétal.

À mesure que j’ avançais, les sons de la jungle semblaient murmurer des avertissements à mon passage. Le cri strident des singes hurleurs résonnait à travers les arbres, les insectes bourdonnaient dans l'air chaud et humide, tandis que le bruissement des feuilles semblait murmurer.

Les minutes s'écoulèrent alors que je progresse plus profondément dans la jungle, son regard aiguisé scrutant chaque recoin à la recherche du moindre signe de présence humaine. J’entendais l’homme de fer me donner des directions et je corrigeais mon avancée en fonction.

Soudain, un bruit lointain attira son attention. Un vrombissement sourd, presque imperceptible dans le vacarme constant de la jungle. Je m’'immobilise, tendant l'oreille pour mieux discerner le son. Dont j’identifie rapidement la source : un moteur, un moteur qui n'avait rien à faire au cœur de cette jungle sauvage.

Avec fluidité, je me déplace de liane en liane se déplaçant dans la direction du son, se fondant dans les ombres pour éviter d'être repéré. À mesure que je m'approche, le bruit du moteur devenait plus fort, plus distinct. Et puis, au détour d'un épais rideau de feuillage, je l'aperçut : la base mobile ennemie, cachée le long d’un cour d’eau.

J’observe la base avec un mélange de fascination et de méfiance. Elle était robuste, camouflée pour se fondre dans l'environnement.

Un groupe de scientifiques s'activeautour d'une structure étrange, un piège élaboré mis en place pour capturer des spécimens de la faune locale. Des filets tendus à travers le cours d'eau piègent de gros crocodiles, leurs yeux reptiliens brillant d'une lueur menaçante alors qu'ils se débattent pour se libérer. À côté, des poissons de toutes formes et tailles sont stockés dans des bassins d'eau vive, leur agitation reflétant leur désir ardent de retrouver la liberté.

Soudain, un grondement sourd se fait entendre, faisant taire l'agitation de la scène. Les scientifiques se figent, leurs regards anxieux se tournant vers l'origine du son. Et puis, surgissant de l'épaisse végétation sur l'autre rive du fleuve, une silhouette massive émerge.

Les autres scientifiques, paniqués, se dispersent dans toutes les directions, cherchant désespérément un refuge contre la colère titanesque du T-Rex. Certains se jetèrent à l'eau, espérant échapper à la fureur de la créature dans les profondeurs du fleuve, tandis que d'autres coururent vers la lisière de la jungle, cherchant un abri derrière les arbres.

Alors que le T-Rex avance inexorablement, sa silhouette massive projetant une ombre menaçante sur la scène. Moi, je ne réagit pas, en effet, dans la précipitation j’avais totalement oublié de prendre des pop-corns et une chaise longue. Le macrophage géant était en train de résoudre mon petit problème de virus, parfait.

Un second rugissement…

Mais mon sourire disparaît vite de mes lèvres, les scientifiques ont été pris de vitesse mais ils avaient un plan, enfin plutôt un chien de garde.

Un second T-Rex émerge d’une structure plus éloignée, son casque étincelant et le harnais dorsal, signifiant clairement qu’il été dominé. Les deux colosses se firent face, leurs regards se croisant dans un silence tendu. Puis, avec un rugissement assourdissant, le T-Rex contrôlé se précipita vers son adversaire, ses crocs acérés brillant dans la lueur du soleil filtrant à travers la canopée.
Mais j’avais déjà abandonné mon camping improvisé profitant d’une liane pour augmenter ma vitesse et plonger sur le nouvel arrivant et lui frapper son casque.

Je me retrouve à califourchon sur un T-Rex redoutable, une créature colossale bardée d'écailles épaisses et armée de crocs acérés, c'est un défi immense et mon cœur bat avec une détermination farouche. Je me suis hissé jusqu'ici, en lui sautant dessus et je suis déterminé à défier ce géant préhistorique. Mon souffle se mêle aux rugissements de la jungle alors que je commence ma tâche périlleuse : le casque qui orne la tête du T-Rex.

Mais à peine ai-je commencé que les tirs fusent autour de moi Je reste concentré, esquivant habilement ses attaques tout en poursuivant ma mission. Soudain, le second T-Rex surgit, déversant sa fureur sur moi. il essaye avec intelligence d’attaquer le cou de son adversaire, et si je n’y étais pas accroché, j’applaudirais à l'initiative.

Pris entre deux bêtes redoutables, je me bats avec une bravoure, mais alors que je e tente de maintenir ma prise sur le casque, les tirs et les deux bêtes redoutables ….

Je suis projeté violemment, tournoyant dans les airs avant de m'écraser au sol avec un bruit sourd. Le monde tourne autour de moi alors que je lutte pour reprendre mon souffle, mon corps endolori et meurtri.

Je sens l'adrénaline pulser dans mes veines alors que je me relève, mon cœur embrasé par la joie du combat. Les tirs des soldats résonnent dans la jungle, mais je reste imperturbable. À chaque impact, ma peau se durcit, transformant les tirs en simples marques noires sur ma chair qui se mue en pierre.

Mon regard se pose sur les soldats avec un sourire malicieux.. Avec une agilité féline, je fonce sur le garde le plus proche, le saisis dans mes bras robustes, et le lance en l'air devant le T-Rex. La créature préhistorique, alertée par le mouvement, détourne son attention du champ de bataille pour se concentrer sur cette nouvelle proie volante. Le garde hurle de terreur alors qu'il est propulsé en direction de la gueule béante du monstre.

“T’as faim mon gros, ils sont sympa ils ramènent la bouffe” C’est la beauté des instincts animaux. J’appréciais leur nature profonde, violente sans être gratuite. Ce ne sont pas des assassins, c’est pourquoi ce casque m’énerve.


Mais ce n'était pas que pour terroriser les soldats et leur rappeler cette loi fondamentale des terres sauvages. C'était aussi pour distraire suffisamment la bête pour lui resauter sur le dos alors qu’il regarde la boite de conserve devant sa gueule béante.

Saisissant l'opportunité offerte par la diversion, je m'empare du fusil laissé à terre par le soldat-apéritif. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine alors que je ressaute sur le T-Rex, profitant de sa distraction causée par le garde

La bête rugit, secouée par le mouvement soudain, mais je reste accroché, déterminé à atteindre mon objectif. À bout portant, je prends pour cible les attaches du casque qui ornent la tête du monstre. Chaque détonation résonne dans la jungle, mêlée aux rugissements furieux de la créature et aux cris des soldats.

“Ouai, j’ai l’impression qu’il y a assez pour rigoler à deux.” Les tirs frappent leur cible avec une précision peu chirurgicale, détruisant peu à peu les attaches qui retiennent le casque en place. La tension dans l'air est palpable alors que je me bats contre le temps, sachant que chaque seconde compte dans cette lutte épique.

Malgré les secousses violentes et les mouvements désespérés du T-Rex, je reste concentré, mes tirs ne faiblissant pas. Le deuxième animal semble s’être éloigné, il avait dû être attiré par toute cette nourriture gratuite à disposition, mais impossible d’en être sûr, au vu de ma situation.

Un nouveau coup de feu retentit, plus puissant, plus précis, visiblement le guignol explorateur ne fait pas semblant.

Les attaches commencent à céder… Alors lâchant l'arme, je commence à frapper de toute mes forces sur le casque pour le briser.

La jungle dense vibre de vie alors que je chevauche le dos puissant du T-Rex, sentant le rugissement de la bête résonner sous moi. À mes côtés, Iron Man engage le combat, son armure scintillante projete un missile. .

Soudain, une explosion retentit, brisant la cacophonie de la jungle. Des éclats d'arbres volent alors qu'Iron Man tire sur le casque du T-Rex, le forçant à paniquer et à s'enfuir dans les profondeurs de la végétation luxuriante. Je saute du dos du dinosaure en fuite, atterrissant sur le sol avec agilité alors que le sol tremble sous l'impact.

Avant que je puisse reprendre mes esprits, une ombre menaçante s'abat sur moi. C'est Sauron, dans sa forme de ptérodactyle, ses ailes battant furieusement dans l'air. Je ne le connais pas et je ne l’avais pas vu débarquer. En embuscade, il profite de l’ouverture que lui laisse Iron Man. Un coup brutal me frappe, me lançant à travers la clairière. Ma tête tourne, mes sens s'embrument, mais la colère gronde en moi, brûlante et inextinguible.

Je me relève avec férocité, mes muscles tendus, prêts à l'action. Mais alors que je m'apprête à riposter, le regard hypnotique de Sauron capture mon attention, ensorcelant mon esprit dans ses filets insidieux. Une voix perfide résonne dans ma tête, me susurrant des mots de manipulation, tentant de me convaincre de trahir mes alliés, de me joindre à lui dans sa quête de domination.

La rage flamboie en moi, furieuse contre cette intrusion dans mon esprit. Mon moi intérieur hurle de défiance, refusant d'être asservi par les sombres machinations de Sauron. Mais malgré ma volonté farouche, je sens l'emprise de l'hypnose m'enserre, me retenant prisonnier dans ses chaînes invisibles. Mon esprit est un champ de bataille, déchiré entre la voix séduisante de Sauron et la fureur indomptable qui brûle en moi. Les images tourbillonnent, les pensées se bousculent, mais au plus profond de moi-même, je trouve la force de résister. Ma rage est une flamme ardente, brûlante et invincible, et je refuse de laisser qui que ce soit l'éteindre.

Dans un geste de désespoir et de détermination, je déracine un arbre massif à mes côtés, le brandissant comme une arme improvisée. Feignant de céder à l'influence de Sauron, je fais mine de le lancer sur Iron Man. Mais au dernier moment, je dévie mon attaque, dirigeant toute ma force vers Sauron.
L'arbre s'abat avec une violence inouïe, écrasant le corps de Sauron sous son poids implacable. Un grondement triomphant monte de ma poitrine alors que je me tiens au-dessus de mon adversaire.

Je plonge vers Sauron avec toute la force et la vitesse que je peux rassembler. Mes pieds s'enfoncent dans le sol de la jungle, laissant des empreintes profondes alors que je me propulse en avant. Le rugissement de Sauron résonne dans mes oreilles, mais je ne faiblis pas. Mon esprit est focalisé, ma rage canalisée vers un seul objectif : faire tomber Sauron.



Sauron est presque sur Plunder, ses griffes acérées prêtes à frapper. Juste avant qu'il n'atteigne sa cible, je m'interpose, attrapant son poignet et le forçant à dévier son attaque. Nos regards se croisent, et je peux voir la surprise mêlée à la fureur dans ses yeux reptiliens. Sans perdre un instant, je lève mon autre poing et frappe, envoyant Sauron valser en arrière. Il se redresse rapidement, ses ailes se déployant pour maintenir son équilibre. Il est tenace, et je sais que ce combat ne sera pas facile. Mais je suis prêt. Nous nous faisons face, et je peux sentir l'air se charger de tension, chaque muscle de mon corps prêt à réagir.

Sauron s'élance vers moi, ses griffes brillant sous la lumière filtrante de la jungle. Je pare son attaque avec mon avant-bras, ressentant la force de l'impact résonner à travers mon squelette. Avec un mouvement fluide, je riposte, frappant son flanc avec une force dévastatrice. Il crie de douleur mais continue de se battre, ses coups devenant de plus en plus frénétiques.

Pendant ce temps, Plunder recule, terrifié mais toujours agrippé à son artefact. Iron Man, observant la scène, semble prêt à intervenir mais attend le moment opportun. Je sais que je dois maintenir l'avantage pour permettre à Tony de trouver une solution définitive.

Je continue à échanger des coups avec Sauron, chaque attaque devenant plus intense, plus brutale. Sa rage et sa détermination sont palpables, son esprit essaye de s’infiltrer en moi, mais ma volonté est inébranlable et sa rage n’est rien en comparaison de la mienne, je ne le laisserai pas gagner. Mes poings deviennent des marteaux, frappant avec une précision et une force implacable.
Enfin, dans un moment de pure stratégie, je feins une ouverture, attirant Sauron dans un piège. Lorsqu'il se jette sur moi, pensant avoir l'avantage, je pivote rapidement et le frappe avec toute la force accumulée de ma rage. Le coup le projette au sol, et avant qu'il ne puisse se relever, je m'agenouille sur son torse, utilisant mon poids pour le maintenir immobile.


« Sauron, c'est fini ! » je rugis, ma voix résonnant dans la jungle. « Tu ne feras plus de mal à personne ! »

Il tente de se débattre, ses yeux brûlant de haine et de frustration, mais je ne bouge pas. Mes muscles sont tendus, chaque fibre de mon être concentrée sur le maintien de cette position. Sauron grogne…
« Faut peut-être assommer Plunder avant qu’il ne se sauve. »