Forum RPG / Jeu de Rôle centré sur l'univers Marvel, notamment les comics. Pour incarner par écrit nos personnages préférés, pour vivre des aventures originales.
Situation : Actuellement en conflit avec d'autres versions d'elle-même
Localisation : Hors de la réalité
Inventaire : - Deux katanas
- Differentes armes
- Un flacon contenant Marshmallow, son symbiote.
- Un sac pingouin (ou requin, dépend des jours)
- une dizaines de poches utilitaires vides ou pleines à volonté.
- Un communicateur X-men
- Un téléphone portable rose.
Issue #3 : Sous l'égide du X - Cyclope Lun 2 Nov - 22:07
Issue #3 : Sous l'égide du X
Hey, salut cher lecteur ! Sais-tu que nous nous trouvons après l’événement la mort d’un dieu, l’avènement des ténèbres ? Ça peut être pas mal de le savoir, puisque c’est ici une suite directe des événements ayant eu lieu, alors si ce n’est pas déjà fait, je te conseille d’aller lire l’issue, elle se trouve dans les dernières sorties Avengers. Ne me remercie, c’est bien normal, et puis c’est la moindre des choses que de t’aider à comprendre pourquoi je me trouve actuellement dans le Black Bird avec l’équipe des x-men. Et quelle équipe ! On a Jean qui a l’air d’avoir un sacré mal de tête et qui j’espère ne lit pas dans la mienne, Scott le roi du pokerface et leader d’équipe, mais aussi Hank au pilotage qui a d’ailleurs posé quelques question sur le déroulement des opérations. J’ai évidemment parlé de Géraldine - paix à son, à… A sa biomasse ? On a aussi Sean et Shiro, qui ont fait un beau travail contre les symbiotes jusqu’à ce que le marteau en colère finisse le taf. Et bien sûr, il y avait aussi Logan, le seul mais pas l’unique, cependant nous l’avons perdu un peu après que lui-même ait perdu ses vêtements ainsi que tout ce qui n’était pas ses os… Sacrée histoire.
« Ah, on arrive ! » Dis-je avec une surexcitation colorée, alors que je regarde par un des hublots l’institut au loin. Ah, c’est tellement drôle que tout soit encore là, comme si on était remonté un arc ou deux en arrière. Passant une main devant ma bouche, j’essaie de cacher le pouffement nerveux qui se meurt dans ma gorge. C’est n’importe quoi Marvel en ce moment. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais à mon avis la ligne temporelle est bien partie en cacahuète avec le snap. Et ne parlons même pas de celles des gens, entre ceux qui sont revenu à la vie sans raison et ceux qui ont oublié plusieurs années d’évolutions… Mais c’est quelque chose que je chercherais à comprendre plus tard, d’abord, ma survie, ensuite la continuité.
Descendant – sautant - joyeusement de l’avion en première, Gwenpool observe les environ qui lui sont aussi familier qu’étranger, un sentiment auquel elle a appris à se faire en trois ans. Elle déambule, rigole, s’amuse, en vrai électron libre, sans vraiment attendre qu’on lui en donne l’autorisation ou le droit, faisant des commentaires sur tout et principalement sur rien, riant parfois pour des détails, des références qu’elle garde pour elle, sachant qu’il serait inutile de les expliquer, hormis si elle souhaitait déjà être catégorisé dans les strates de la folie. C’est étrange, si étrange, si Gwen a l’impression de si bien connaître tout cela (Chaque personne, chaque endroit et chaque histoire) elle ressent pourtant à chaque fois l’excitation et l’euphorie de la nouveauté, remarquant les détails, les habitudes ou les secrets que ses yeux de lecteurs ne pouvaient pas voir. Tout a changé, et pourtant tout est identique.
« Il faut que je me fasse une to do list de lieux à visiter. » Murmure-t-elle en attrapant son sac pingouin, retirant du vide un calepin et un stylo, commençant à noter les différents lieux emblématiques du X-menverse, alors qu’elle continuait d’avancer, regarder, examiner, étant cependant bien vite arrêté dans sa découverte par des portes ne lui offrant pas l’autorisation d’avancer. Ah, les accréditations, forcément…
Il serait probablement possible de les créer avec un flash-back mais… Gwenpool préférait éviter, prudente, pour la première fois dans l’utilisation d’habitude si fluide et inconséquente de ses capacités. Elle ne saurait pas dire quoi, mais quelque chose la gênait depuis son arrivée, la faisant se sentir de trop, ici. Se tournant vers les autre personnes présentes, elle se rendit alors compte que c’est toute une pièce qu’elle avait mis entre eux et elle, n’ayant même pas essayé de d’imposer sa présence, s’incruster dans les conversations des autres comme elle le faisait d’habitude. Elle avait fui dans son monde sans même y penser, probablement aussi volontairement inconsciemment. Non, décidément, il était évident qu’elle était mal à l’aise, et comment aurait-il pu en être autrement : elle avait l’impression d’être un imposteur, un mensonge, une farce, rien de plus. C’était évident, non ? Elle savait au plus profond d’elle qu’elle était humaine, elle savait d’où elle venait, et elle savait plus que tout que Kamala se trompait. Bon dieu, c’était une telle évidence...
Non non non. Ça ne va pas du tout Gwen. On va se donner la présomption de mutanité, ok ? Sinon autant partir tout de suite et mourir, disparaître, ou faire un étrange mélange des deux, encore. Essayons d’abord de démêler le vrai du faux. Prenant une profonde respiration, je me décide alors à retourner vers la petite équipe à petit trot. Enfin, surtout vers Scott, peut-être parce que c’est lui qui m’a invité, ou peut-être simplement parce que ça me semble évident de se tourner vers le leader. Retirant ma capuche-cagoule en secourant un peu mes cheveux pour leur rendre leur volume, je souris, un brin gênée, alors que j’essaie, comme je peux, de ne pas paraître totalement mal à l’aise, alors que je sers mon calepin contre moi. « Merci pour l’invitation, tout à l’heure. Je m’appelle Gwen, au fait, mais tu le savais déjà. » Je marque un silence, regardant autour de moi une nouvelle fois. Si seulement les indicateurs de quête existaient dans la réalité… Enfin, la réalité, tu as compris. « Et maintenant, on fait quoi ? On va voir Charles pour lui en taper cinq ou y a des formalités administrative avant ça ? J’en une clause de risque à remplir en cas de mort sur le terrain ? » Je rigole un instant, avant de me reprendre en m’éclaircissant la gorge. Meh, on a fait mieux comme approche, ouais…
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Cyclope
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Re: Issue #3 : Sous l'égide du X - Cyclope Sam 5 Déc - 1:48
▬ Ça va aller, Jean ? ▬ Oui, ne t'en fais pas. J'ai juste besoin de calme... Et d'une aspirine.
Elle lui adresse un sourire forcé qui se change en grimace douloureuse. Les mains encore sur les tempes, elle s'est repliée sur le siège le plus en retrait du Blackbird dans l'espoir de soulager la migraine épouvantable dont elle est victime - sans grand succès jusque là, apparemment. D'un geste compatissant, il porte une main à son front - qu'elle y retient ; il la retire cependant au bout de quelques secondes, juste assez pour qu'elle n'ait pas d'impression de rejet. Il est toujours aussi mal à l'aise avec cette proximité, cette intimité - et le restera tant qu'il n'y verra pas plus clair sur sa situation. Est-ce bien de « sa » Jean qu'il s'agit ? Il l'ignore encore, au fond. Et quand bien même ce serait-elle, pourra-t-il jamais la regarder en face tant qu'il n'aura pas pu soulager sa conscience - ce qu'il ne pourra jamais faire, de crainte de ce qui pourrait en découler. Ceux qu'il aime sont de retour, et il devrait s'en réjouir, mais les choses ne sont pas si simples. Tout devrait être plus facile, et pourtant rien ne l'est.
▬ Repose-toi. lui intime-t-il avant de retourner vers l'avant de l'appareil.
Au passage, il en profite pour jeter un œil à ses autres passagers. Le trajet n'est pas long, mais certains en profitent pour piquer un somme - reprendre les forces qu'ils ont dépensé dans la bataille. Il n'ira pas le leur reprocher : il leur en a demandé beaucoup, et n'a pas eu à se plaindre du résultat. Comme toujours, ils ont obéi sans se poser de questions ; comme toujours, ils lui ont fait honneur. Il ne sait s'il a encore vraiment le droit de les commander, de s'imposer à leur tête, mais tout ça parait si naturel. Ça lui a manqué, oui ; il peut bien se l'avouer.
▬ Bienvenue à l'institut Xavier pour jeunes surdoués, annonce sobrement Cyclope alors qu'ils entament leur descente.
Et ce même si la nouvelle recrue s'est aperçue qu'ils arrivaient avant qu'il ait pu dire quoi que ce soit. Qu'elle s'en soit rendu compte avant même qu'il ait pu le dire l'a pris de court, mais ce n'est pas si étonnant. Au cours des années, l'institut s'est fait successivement plus visible ou mieux caché - en fonction du degré d'animosité des humains à leur égard ; du risque que représente le fait de dévoiler leur position. Leur politique à ce propos avait tant changé qu'il était difficile d'en vouloir aux élèves qui ne savaient plus à quoi s'en tenir. Aussi n'était-il pas si improbable qu'elle ait pu reconnaître la région en regardant par le hublot.
Ils se posent, donc. Les dormeurs s'éveillent et quittent un à un le hangar, s'éparpillent pour retourner à leurs activités. Les X-Men ont aidé à sauver le monde encore une fois : c'est une journée comme une autre. Il leur faudra débriefer plus tard ce qu'il s'est passé là-bas - il est toujours possible de faire mieux -, mais pour l'heure, ils peuvent bien se détendre un peu. Scott est parmi les derniers à sortir. Il laisse la liesse aux autres ; il peut l'entendre de là où il est. Thor n'est pas l'un de ses héros, mais il l'était pour beaucoup ici, et ils leur sont reconnaissants d'avoir agi. Ils n'ont rien pu faire pour le sauver, mais au moins l'ont-ils vengé. Seraient-ils aussi sensibles à la mort de l'un des leurs ?
Descendant enfin de l'avion, Scott se débarrasse de son masque, remplace sa visière iconique par une paire de lunettes un peu plus passe-partout - mais néanmoins assez spéciales pour contenir son pouvoir. S'il vit depuis toujours son inaptitude à le contrôler comme une malédiction, il est presque rassurant de voir que tout n'a pas changé ; qu'il n'est pas pris au piège d'une variante idyllique de son ancienne réalité. Encore.
Tout éprouvé qu'il soit, il ne peut, lui, pas encore se reposer : il lui faut d'abord s'occuper de la nouvelle arrivante - qui, après avoir couru dans tous les sens pour découvrir son nouvel environnement, a le bon sens de revenir vers lui. Comment peut-elle encore avoir autant d'énergie après tout ce qu'il vient de se passer, il n'en a pas la moindre idée. Elle ne semble pas particulièrement fébrile non plus ; à croire qu'elle a déjà arpenté d'autres champs de bataille avant celui-ci. Mais si c'est le cas, pourquoi n'ont-ils pas entendu parler d'elle auparavant ? Cerebro aurait dû la repérer. Et peut-être est-ce arrivé, mais qu'il est le seul à ne pas s'en rappeler ? Y aurait-il une raison pour qu'ils ne soient pas déjà allés la chercher ? S'est-elle simplement tenue à l'écart de leur radar jusqu'alors - et, si oui, l'a-t-elle fait consciemment ? Même s'il redoute la confrontation, il regrette presque que Charles ne soit pas là ; peut-être aurait-il pu l'éclairer sur ces irrégularités. Mais non : il va devoir se débrouiller seul avec ce qui s'annonce être un cas très particulier.
▬ Désolé, j'avais des choses à régler avec Hank, dit-il en désignant le Blackbird - au sein duquel une masse de fourrure bleutée s'active encore, et d'où émanent désormais quelques notes de musique classique. C'est semble-t-il l'une de ces phases où celui-ci vit pratiquement dans le cockpit, en quête d'améliorations qu'il pourrait apporter. Tu n'as pas à me remercier. Cet endroit est ouvert à tous les mutants qui en ont besoin. Qu'il cherchent à comprendre qui ils sont, à apprendre à se contrôler ou même juste un endroit où dormir... Nous sommes là pour ça.
« Nous ». Nous qui, exactement ? Il n'est plus censé faire partie de cet institut, ne l'a réintégré que du fait d'un coup de poker cosmique. Mais même si leurs visions ont fini par diverger, ils ont toujours eu à cœur le bien-être de leurs frères et sœurs mutants - tous autant qu'ils sont. Aussi ne pense-t-il pas se tromper en affirmant tout ceci : quelle que soit l'époque ou la dimension, l'institut Xavier sera toujours un refuge pour les leurs.
À son tour, elle révèle son visage. Elle est jeune, peut-être plus encore qu'il a pu le penser initialement, mais pas autant que certains de leurs pensionnaires. Son gêne X doit être actif depuis plusieurs années déjà. Certes, ils ne vont pas à la rencontre de tous les mutants qui peuplent la planète ; ils n'ont pas les effectifs de le faire - du moins ne les avaient pas avant le passage de la Sorcière Rouge -, mais si elle est américaine, il reste étonnant qu'ils aient pu la manquer. Il garde tout cela pour lui, cependant, au moins pour le moment ; l'assommer de questions à peine arrivée risquerait de la mettre sur la défensive. Un risque qu'il n'entend pas prendre, encore moins tant qu'il n'aura pas une idée plus précise de ses capacités. Et... Qu'est-ce que c'est que ces familiarités ? Charles est peut-être un personnage public, et son nom étroitement associé à l'école - car littéralement marqué dessus -, mais de là à parler de lui de cette façon...
▬ Je pense qu'il vaut mieux que tu l'appelles professeur Xavier, au moins dans un premier temps. Et il n'est pas là pour le moment. Viens avec moi. lui dit-il, quittant le garage en quelques longues foulées pour l'entraîner en direction de la porte blindée qui les ramène dans l'enceinte du bâtiment principal. À peine y sont-ils entrés qu'elle peut déjà voir par les fenêtres les vastes jardins et leurs nombreuses installations, où une poignée de jeunes profitent déjà de leur après-midi d'une manière ou d'une autre. Par ici, tu as la piscine. Il y a également un lac un peu plus loin. Par là, c'est la cafétéria. Le labyrinthe de haies...
Chemin faisant, il indique ainsi tous les emplacements qu'il va lui falloir retenir si elle désire rester, afin de pouvoir s'y retrouver. Dortoirs, salles de classe : rien n'y échappe.
▬ Et ici, c'est mon bureau. conclut-il, non sans avoir passé la clef dans la serrure d'abord pour s'assurer que ce soit encore le cas ; sait-on jamais. Il y entre le premier, et constate aussitôt que la pièce est telle qu'il se souvient l'avoir laissée ; tant mieux. Je t'en prie, assieds-toi. Si tu me le permets, je vais avoir quelques questions à te poser...
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Gwenpool
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Re: Issue #3 : Sous l'égide du X - Cyclope Mar 13 Avr - 16:47
Issue #3 : Sous l'égide du X
Oups, première reprise. Professeur Xavier, pas Charles, ils n’ont pas élevé les cochons ensemble, c’est vrai… Pourtant, c’est tellement compliqué pour Gwen se garder une distance quel qu'elle soit que ce soit envers les héros ou les vilains. Pour elle, ils sont toujours des amis précieux, des personnages qu’elle connaît par cœur, qu’elle a adoré lire à travers leurs aventures, qu’elle a suivi dans leurs débâcles sentimentales, dans leurs choix ethniques, dans leur chute autant que dans leur renaissance. Oui, ils sont tous ses amis qu’elle connaît sur le bout des doigts et donc elle pourrait faire un cadeau sans se tomber sur leurs goûts. « Pardon, ouais, Professeur Xavier, c’est noté Scott… Heu ...Cyk ?… Monsieur Summers? » Demande-t-elle, un peu perturbée par cette proximité de fan qui l’empêche de savoir où se placer et comment se comporter sans paraître parfaitement maladroite. Toussant un peu pour reprendre de la contenance, Gwen préfère se taire et se contenter de suivre Scott qui quitte le garage à grande foulée, obligeant Gwenpool à trottiner légèrement pour ne pas le perdre en chemin. De toute façon, même si elle le perdait, elle est déjà chez elle, ici…
Gwen ne perd pas un instant pour tout observer, comme si elle se retrouvait dans une maquette réaliste de son univers préféré, reconnaissant certains détails déjà vu dans les comics, tandis que d’autres changent, ayant été à plusieurs occasions été remanié par les auteurs. Se rapprochant d’une fenêtre, elle y appose ses mains pour regarder un groupe de jeune mutant semblant jouer dans le jardin, toute excitée d’aller faire la connaissance, ayant déjà leurs noms sur le bout des lèvres, ne demandant qu’à sortir. Cependant, la jeune héroïne abandonne bien vite ce spectacle pour continuer à suivre Scott, écoutant ses précisions sur les lieux qu’ils traversent ou voient de loin, se contentant de hocher de la tête tandis qu’elle avance en zigzag, s’arrêtant un peu partout pour regarder un rideau, une statue, un tapis, une porte ‘’qu’elle savait bien qu’elle se trouvait au rez-de-chaussée’’ et non à l’étage. La visite est plus ou moins complète, et rien n’y échappe, donnant un immense sourire à Gwenpool qui ne l’avoue pas, mais a hâte d’assister au cours sur comment combattre des ninja.
Puis vint le bureau de Cyclope. « Chouette bureau ! » Comment-elle simplement, en faisant le tour tandis qu’il s’assoie, prenant le temps encore une fois de tout observer à la loupe, des fenêtres aux sols, comme si elle n’arrivait pas à y croire. Elle est bien dans l’institut Xavier… « Des questions… Mouis, pourquoi pas. Mais je préfère prévenir, je n’aurai peut-être pas les réponses que vous cherchez, ou alors je ne pourrai pas vous les donner parce que vous ne me croiriez pas. Il faudra peut-être attendre que je puisse appeler le professeur Xavier « Charles » pour que je vous dise tout. » une façon comme une autre de sous-entendre qu’elle n’avait actuellement pas suffisamment confiance dans les x-men et ce qu’ils feraient d’elle s’ils savaient, pour leur dire toute la vérité…. Finissant son tour des lieux, Gwen alla se poser poliment en face de cyclope, ses mains serrées se posant sur ses genoux, un peu intimidée, mais surtout très inquiète. Elle a tant de choses à dire, et plus encore à taire… « Malgré ça, je veux bien essayer d’y répondre. »
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Issue #3 : Sous l'égide du X - Cyclope
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