Forum RPG / Jeu de Rôle centré sur l'univers Marvel, notamment les comics. Pour incarner par écrit nos personnages préférés, pour vivre des aventures originales.
[La Nouvelle Orléans] Friendly Fire (Doyle Dormammu)
Nate
Spectateur
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Date d'inscription : 11/08/2020
Emploi/loisirs : Soldat de fortune
Localisation : Hell's Kitchen / Krakoa
Inventaire : - Communicateur des Avengers
- Virus techno-organique dans le bras gauche
- Téléporteur spatio-temporel portatif à commande vocale
- Poches, bandoulières et ceinturons contenant un nombre impossible de gadgets futuristes et d'armes énergétiques énormes
- Épée extraterrestre 'La Lumière De Galador'
- Pierre de Lune
- Un carnet qui lui sert de journal
[La Nouvelle Orléans] Friendly Fire (Doyle Dormammu) Dim 20 Déc - 11:01
Dans le bayou, proche de Bourbon Street, La Nouvelle-Orléans.
Elle se faisait appeler Dessy. Un diminutif, pour un prénom des plus terribles : Désespérez. Un démon ; un monstre de la pire espèce. Un sujet de S'ym et de Belasco, fut un temps. Une abomination des Limbes, royaume infernal oublié de Dieu.
Une rafale de fusil à plasma traverse l'espace, et roussit le poil de l'un de ses sabots.
"Hyaaghhhh !! Mais tu vas tenir en place, saloperie ?!"
Grâce au ciel, le jeune héros du temps est là. Pour l'arrêter. Pour la saisir. Pour qu'elle révèle les noirs secrets de ceux de son espèce.
Jeune. Beau. Musclé - athlétique, tout du moins. Buriné, déjà. Abîmé, mais ce qui ne tue pas vous rend plus fort. Vif. Aguerri. Déterminé. Et... mis à la peine par sa proie.
Elle lui échappe. Du moins... C'est ce qu'il veut bien lui laisser croire. Jusqu'à ce qu'elle atteigne l'endroit où elle était attendue. SCHKLACK !
Le visage du jeune homme se fend d'une longue balafre horizontale ; un sourire, signe de la satisfaction évidente.
Un de ses membres inférieurs au sabot fendu enserré dans un piège à ours de technologie futuriste, pour la première fois de toute son existence fidèle à son nom de baptême, Dessy abandonne tout espoir.
Le chasseur s'approche de sa proie, une lueur sadique flamboyant dans les lueurs de son oeil gauche.
"Maintenant, mes réponses, crevure !"
clac-clack
Le son d'une arme qu'il vient de recharger, en signe de menace. Gare à quelque être suffisamment abject pour mériter un interrogatoire mené par l'enfant de la tribu Askani. Loin du jeune Mutant la notion que ce bayou peut accueillir d'autres abominations bien pires encore...
Re: [La Nouvelle Orléans] Friendly Fire (Doyle Dormammu) Lun 21 Déc - 21:23
La Louisiane est une terre de fantasmes. Les cultures s'y sont mélangées et s'y mélangent encore pour former mythes, légendes, secrets et mystères, que seuls les initiés sont à même de percer. Domaine d'adoption du vaudou, lieu de trépas pour les imprudents, terre d'épanouissement pour ceux qui s'adaptent à l'étrange atmosphère locale, elle attire autant qu'elle effraie. Il faut dire qu'au cœur de la plus grande de ses villes, la Nouvelle Orléans, de bien inquiétantes (mais fascinantes) figures foulent les pavés; diables, fées, loups-garous, vampires, kitsunes, ondins, golems... des créatures sorties des mille folklores du monde, à croire que quelque chose les attire.
Non loin de Bourbon Street, dans la moiteur des marais environnants, une course-poursuite a lieu. Les projections de plasma illuminent l'eau stagnante, les arbres tordus et les animaux qui fuient, bien mécontents d'être délogés si peu diligemment de leur royaume de vase. Dessy la démone fuit. Pour sa liberté. Pour sa vie. Elle galope comme elle peut au milieu des racines et de la tourbe, jusqu'à atteindre son destin: un piège. Capturée comme une bête sauvage, à la merci de ce fou furieux à l'œil enflammé, elle perd espoir. Elle désespère, sans pour autant sacrifier le stoïcisme dont elle a toujours su faire preuve. Elle contemple les quelques mètres qui la séparent encore du chasseur. Sa magie perçoit la colère, le sadisme, la violence qui animent ce jeune garçon, pas plus vieux qu'elle. L'obscurité qui engloutit ce gamin au destin messianique est étouffante... Despair capte ce qui se passe. Elle ressent. Et... Et elle sourit.
Elle sourit, car une voix s'élève alors à droite de Nathan Dayspring Summers. Une voix que Dessy connaît. Une voix qu'elle apprécie, surtout en ce moment. Crépitante comme les flammes, assurée, elle vient chatouiller l'oreille comme un léger nuage de cendres chatouillerait le nez.
- Crevure ? Ce n'est pas très poli, ça.
Une silhouette fine et droite croise les bras avec détermination. Un être étrange, expulsée des enfers de la mangrove. Une engeance enflammée, à la tête ronde comme une citrouille et aux yeux luisants. Un Faltine. Habillé drôlement élégamment, d'ailleurs. Avec un petit pin's sur le pectoral gauche, semblable à un blason.
Son regard est dur, et s'il sourit, ce n'est pas par sympathie. Malice, peut-être ? Nervosité ? Colère ? Un peu tout ça à la fois, à vrai dire.
- Ca, et le fait de s'en prendre à mes amis, ça a le don de me mettre en rogne.
Le Faltine tend les bras. Un mouvement simple, à la limite de l'instinctif, prélude à un déferlement de puissance surprenant. D'intenses flammes mystiques jaillissent en flots ardents, projetées avec force au sol, autour des trois protagonistes de cette affaire. L'eau s'évapore, la chaleur monte, nimbant la scène d'une vapeur blanche étouffante.
FWOOOOOOSH
Cable n'est pas touché; un cercle brûlant est désormais formé autour d'eux, avec une sortie, unique, à l'opposé de la pauvre Dessy, victime principale de toute cette affaire.
- Mais le Principal Strange m'en voudrait d'avoir réduit en cendres un civil, fusse-t-il une menace pour un de ses élèves. Alors pars, pendant que tu le peux encore.
Doyle Dormammu, car c'est évidemment lui, se sait puissant. Il est un Faltine, après tout, et même jeune, ses capacités excèdent de loin celles de presque tous les humains. Alors il pose ses poings sur ses hanches, et cherche à bomber le torse, suffisamment pour intimider son adversaire. Mais si Dessy, une très bonne magicienne, s'est trouvée dans l'obligation de fuir, c'est que ce garçon à l'œil de feu est une menace, une vraie. Ce qui inquiète l'apprenti sorcier, seul sur ce coup.
Inventaire : - Communicateur des Avengers
- Virus techno-organique dans le bras gauche
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Re: [La Nouvelle Orléans] Friendly Fire (Doyle Dormammu) Mar 22 Déc - 3:24
Il le connaissait sous le nom de N'astihr. Un démon des Limbes, un apprenti sorcier qui s'était brûlé les ailes. Mais pas avant d'avoir tiré Madelyne Pryor vers la folie.
Il avait servi et trahi sous S'ym et Belasco. Il avait communié au virus techno-organique avec le premier, et volé le livre de sorts du second. Il avait conspiré au sacrifice de treize nourrissons, ce jour-là.
Nathan n'était alors qu'un bébé, mais il se souvient de son nom et de ses victimes.
Nathan Christopher Summers est devenu beaucoup de choses depuis cette nuit-là. Un foie-jaune n'en fait pas partie. Il refuse de fuir et d'accepter. Ainsi poursuit-il ses démons. Ainsi tracera-t-il le chemin qui devrait le mener au démon N'astihr et à la vengeance.
Sa piste commence par Dessy, démonne des Limbes qui a pris pour demeure la Nouvelle-Orléans. Le piège s'est refermé sur cette l'engeance démoniaque et il pourra se livrer à un interrogatoire sur le ton de la revanche.
La bête immonde, d'abord interdite et vaincue, forme un rictus sur sa face infernale. Et son renfort annonce sa présence. Ce qui le trouble dans l'accomplissement de sa vengeance. Aussi émet-il une courte verbalisation de sa surprise.
"... Un autre ?"
Un autre démon. À croire qu'ils avaient pour habitude de former des duos, comme les comiques. Nathan n'attendit pas la chute en retenant son souffle.
Ti~dit! Surpris oui, mais pas démuni. Par la pression d'un bouton, le Fils de Demain monte un champ de force hémisphérique ; technologique et non télékinésique. Parce qu'il n'a aucune envie de développer une migraine en pleine opération et sans renfort. Parce qu'il a beau redoubler d'assurance, il accepte à peine de se confronter à ses démons intérieurs. Parce que les démons ne sont pas son fort ; c'est justement une blessure de l'âme dans son passé qui l'amène ici. Parce que ses pouvoirs ont un contrecoup terrible, plus difficile à gérer que durant son éducation au sein du Clan Askani.
Toute mission demande préparation, ainsi que de la coordination. Ici, cependant, il est seul. C'est un combat qu'il doit mener seul. Se confronter à son passé est un acte solitaire. Il le sait. Il le découvre. Sans guide, sans escouade, voilà une configuration qu'il doit encore apprendre à maîtriser. Or, ici, la grande maîtrise enseignée par les Askani est vite oubliée ; ici, en territoire ennemi.
La Louisiane est une terre de pactes et de mysticisme. Pas un terrain conquis, pour le petit-fils de l'atome. Mais... Ce qui est, est. Et un terrain reste un terrain.
"Contrôle !!! J'ai besoin que tu actives le filet neural !"
Nathan Summers Askani'son ne prête pas attention aux élucubrations de la créature léchée par les flammes infernales. Abrité du cercle de feu généré par ce nouveau démon grâce à la technologie de champ de force, il réagit. Une voix lui répond dans le communicateur de son harnais.
« Hum, c'est fait, boss alors... Pourquoi mes senseurs indiquent que le deuxième bouge toujours ? »
Pas un renfort ; pas tout à fait. Mais un soutien, précieux. Pourtant, la sueur continue de perler sur le front de l'enfant intemporel. L'ennemi a tenu. La contre-mesure programmée pour suppléer au piège destiné à la démonne n'a aucun impact sur son salvateur enflammé.
Nathan a admis sa vulnérabilité au feu à l'instant même où son champ de force a été déclenché. Paraître fort lorsque l'on est faible... Non, ceci n'est plus une option. Il est trop tard pour l'art de la guerre.
Serait-il déjà acculé dans une impasse ?
En effet, il ne voit pas d'autre choix pragmatique. Pas d'autre conclusion empirique que celle d'une lame de fond pour niveler le terrain et espérer prendre le dessus.
Alors, il concentre son esprit sur le sol et sur chaque élément gorgé d'humidité de celui-ci, pour le soulever comme un tapis. Rapide, violent, efficace. Le virus techno-organique n'aura pas eu le temps d'en profiter.
Son mouvement suivant, parfaitement exécuté, amène une lame préalablement gravée contre la peau de sa captive. Parfaitement exécuté ? Pas tout à fait. Dans la moiteur ambiante et la fournaise localisée, la lame a glissé sur sa trajectoire et versé un premier sang. Faire des erreurs, même minimes, ne sied guère au jeune homme. L'intention n'y était pas, mais l'ennemi n'a pas besoin de le savoir, se rassure t-il.
Son œil gauche incandescent scrute la brume épaisse aux éclats éblouissants jetés en rayons épais par la flamme démoniaque. Son nez remue, assailli soudain par la puanteur du marais qu'il vient de soulever par la force de l'esprit. Cet endroit lui parut soudain véritablement infect.
Re: [La Nouvelle Orléans] Friendly Fire (Doyle Dormammu) Dim 3 Jan - 4:12
L'inquiétude ? Elle ne s'empare pas simplement de Dessy et de Nathan Dayspring Summers; Doyle Dormammu s'inquiète, aussi. Parce qu'au centre du cercle de flammes des Faltines, ce chasseur de démons à la mine juvénile ne baisse pas les bras. Pire encore, il active en vitesse de nombreuses contre-mesures, défensives et offensives. Boucliers, pièges... Le but de tout ça ? S'en sortir avec son "butin", évidemment. Alors qu'une porte de sortie lui a été offerte, il préfère se battre. De la détermination ? Sûrement. De la folie ? Aussi. Car là, le jeune Faltine est en position de force, même avec ce manque d'expérience qui mine ses prises de décisions.
Il n'a d'ailleurs pas le temps d'observer davantage le manège de cet intrus fort peu urbain; le sol se soulève sous ses pieds. LE SOL. Tout entier, par vagues régulières. Totalement pris au dépourvu, Doyle tente de bondir hors de la zone, trop tard. Il est projeté dans les airs, à plusieurs mètres de là, comme une poupée vaudou désarticulée... ce qu'il n'est heureusement pas.
- AAAAAAH !
Traversé d'un éclair de génie au dernier moment, ses flammes s'agitent sous ses mains. Elles s'agitent fort, très fort. Vite, très vite. Suffisamment pour générer un très vif contre-choc explosif qui ralentit sa chute, juste avant l'impact. Qui se révèle malgré tout très dur, même avec le sol meuble comme matelas. Le prince infernal rebondit deux fois avant de traverser une grosse fougère qui prend immédiatement feu, tel un buisson ardent.
- Ungh !
Les pieds dans l'eau, son uniforme trempé et noirci de cendres, Doyle cligne des yeux, plusieurs fois, comme pour réaligner sa vision et son cerveau. Il a connu pire, oui. Comme quand le Professeur Magik l'a envoyé en Enfer avec ce crétin d'Iric. Une demi-journée à lutter contre les démons violents du septième cercle et courroucés du cinquième, ça fait relativiser les choses. Mais pas ce que vient d'apercevoir le jeune sorcier.
Un gros nuage de vapeur recouvre tout à plusieurs dizaines de mètres à la ronde, fruit de l'union de l'humidité du sol et des flammes toujours plus brûlantes autour de Dessy et de son tortionnaire. Et pourtant, pourtant, ses yeux de feu ont bel et bien vu une larme rouge couler du cou de son amie, sous la pression d'une lame gravée.
...
Au diable le Principal Strange ! Au diable les règles ! Au diable le diable !
Au cœur de la nappe de brume, un inquiétant crépitement se fait entendre. Celui d'un brasier allumé par une étincelle singulière; une émotion. Des lueurs irréelles apparaissent à travers le brouillard pâle, dessinant la forme de mains, d'yeux... d'un visage. Un visage effrayant, venu d'ailleurs. D'un autre monde. D'une autre dimension. Le visage d'un Faltine chez qui la colère a broyé dans sa paume puissante le doute, l'inquiétude, la timidité.
- Tu vas la laisser partir... tout de suite.
La voix de tout à l'heure a grossi. Elle ronfle désormais, elle gronde, comme un immense feu de joie laissé sans surveillance. Il ne manque pas grand chose pour qu'elle se transforme en feu de forêt rugissant. Une simple brise, une simple braise. Mais, tout ça pour le moment, ce n'est que de l'esbrouffe, quelque part. Des lumières, de la chaleur, du bruit. Le gonflement d'une proie qui cherche à avoir l'air plus grosse que ce qu'elle est.
- Et peut-être, et seulement peut-être, je te pardonnerai pour ce sang que tu viens de verser... crevure.
Alors, pour marquer sa force, le flamboiement humanoïde tend sa main brûlante, vers le chasseur et Dessy. La lame mortelle grince une petite seconde, avant de se tordre d'un coup, hors de portée de la chair molle couleur rubis. L'instant d'après, le métal s'embrase, jusqu'à fondre et à couler au sol, simple petit tas rougeoyant que la chaleur ambiante n'aide pas à refroidir.
Inventaire : - Communicateur des Avengers
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Re: [La Nouvelle Orléans] Friendly Fire (Doyle Dormammu) Jeu 7 Jan - 13:14
Son nom est Takeshi Matsuya. Il est citoyen américain, d'origine japonaise. C'est un garçon malin - en plus d'être un véritable génie par le truchement de son pouvoir Mutant.
Depuis l'accident qui lui a coûté l'usage de ses jambes, il pourrait se sentir diminué. Depuis que sa dyslexie lui a coûté plusieurs redoublements vu qu'il peinait à écrire son propre nom, aussi. Depuis que l'accident lui a pris ses parents.
Avec l'aide rassurante de son fauteuil et d'un bon correcteur orthographique, il a développé son assurance au contraire.
Il a travaillé avec Leech, Artie, Boom-Boom - de jeunes Mutants esseulés comme lui. Il a travaillé pour N'astirh, un deal pour sauvegarder son intégrité face à lui puissance du démon des Limbes. Il l'a équipé, amélioré, aidé... Non sans tout faire pour jouer la montre.
Il a une compréhension intuitive de la Magie, du Techno-Organique et de tous les systèmes ordonnés. Ce qui n'équivaut pas à la connaissance.
« Est-ce que ce que je lis est correct ? Il a détruit les enchantements de la lame ? »
Takeshi Matsuya, alias Wiz-Kid, a ses raisons d'aider Cable dans sa recherche vengeresse de N'astirh. Cependant, dire qu'il ne comprenait rien à ce qu'il se passait sur en ce moment sur le terrain ne serait pas faux. Il avait dû se préparer, préparer Cable avec des innovations pas piquées des hannetons pour coincer la démonne limbique. Cela ne fonctionnait manifestement pas aussi bien que prévu, et ses senseurs à distance le lui disaient. Cable se charge alors de combler les trous par ce qu'il ne pouvait que constater.
"Et la lame avec, Taki. Est-ce que tes capteurs te renseignent sur le fait que le signe de vie hostile est dans une colère d'enfer ?"
A dessein ou non, Cable s'obstine à ne pas communiquer avec l'entité infernale venue pour le contrecarrer. Comme si le problème qu'il ne savait pas gérer allait finir par disparaître à force d'être ignoré.
« Haï, gaijin. Mais je ne me sentais pas de souligner l'évidence... C'est mon problème à partir du moment où j'ai une solution ; et là... Héhé ? »
Cable a face à lui le feu, la fureur, la menace ; et dans la paume de sa main, une brûlure au troisième degré.
"Hh. Je vois."
Gentil n'a qu'un œil, malin en a deux... Et là, Nathan ne se sent aucun des deux.
Alors, il lâche la dénommée Dessy... et fonce. Il fond sur le super-prédateur qui entend le priver de sa proie.
Cable bondit en direction des deux yeux rougeoyants ; et entend lui donner le coup de boule de la décennie.
Que cela réussisse ou non, il s'est entraîné à enchaîner en dégainant deux couteaux rangés sous ses omoplates. Ce n'est qu'un coup d'ouverture. Enfin ; marre de subir ce grain de sable brûlant dans l'engrenage. La guerre est parfois un enfer qu'il faut savoir prendre à-bras-le-corps alors... Game on.