Relancer la machine ( Beetle / Mysterio)

Date d'inscription : 10/10/2020

Abner Jenkins, crispé et troublé, décide malgré tout d'agir et de se rendre directement à l'adresse indiquée.
En armure.
Prêt, prudent ; armé.

Il grimace, sous le casque, alors qu'il découvre, après avoir vérifié la zone, l'étrange sphère.
Il lève une main gantée, tremblée, vers ladite sphère... et la touche.

Il se lance. Il ose.

Qu'a-t-il à perdre ? Il est déjà mort. Il est déjà revenu.
Il a déjà perdu.

Alors que sa main se pose sur l’objet laissé là par Mysterio tout change autour de lui et se transforme avec des millions de pixels s’agglomérant pour former un nouvel environnement. Il n’est plus dans un studio au papier peint défraichi mais dans une salle plus spacieuse. Si les murs et le sol en béton témoignent d’une première destination des lieux plus industrielle ce sont désormais des machines outil high tech des calculateurs et des ordinateurs qui sont sont disposés tout autour, comme des centaines de câbles d’alimentation électrique. Des androïdes en construction étaient allongés sur des tables et les pièces d’une armure ressemblant à certaines de Tony Stark si on fait abstraction de la couleur, était en travaux suspendue à des chaines servant d’ordinaire à soulever des moteurs de voiture.

Relancer la machine ( Beetle / Mysterio) Spider11

Quentin Beck en combinaison de motion capture était en pleine observation d’un grand hologramme translucide de la ville, ce qu’il interrompit pour se retourner vers Abner qui apparaitrait lui aussi en forme holographique devant lui.

“Beetle, vous êtes venu.”

Il désigna du doigt le traçage d’un rectangle sur le sol autour de son invité.

“Evitez de sortir de cette zone si vous ne voulez pas vous prendre un mur.”

Il fit disparaitre les constructions holographiques de la ville d’un geste de la main puis croisa les bras en s’approchant d’Abner.

“J’ai moi aussi braqué quelques banques. C’est amusant mais pas sans risque dans cette ville où les super héros sont légion. Nous " vilains" comme ils aiment nous nommer, sommes plus nombreux mais n’avons certainement pas l’organisation d’une Légion.”

Il s’avance plus près de Beetle, l’hologramme de Mysterio entrant dans la zone rectangulaire correspondant à la surface de l'appartement. Chacun était à deux endroits en même temps du moins visuellement.

“On...s’affronte. Se fait des petites guéguerres pour le territoire l’argent ou l’égo, parfois les trois. J’aimerais vous dire que c’est dispensable, que le crime de New York doit s’unir mais ce serait...utopiste n’est ce pas? Et puis qu'avons nous en commun avec certaines brutes...Mais si au moins nous, les New Masters Of Evil y parvenions. Quel progrès ce serait. Parce que cette ville on pourrait la tenir dans nos mains.”

Le visage de Beck est déterminé. Abner aurait peut être entendu parler de sa récente déconvenue, une intervention de Moon Knight et Wolverine en plein sur un plateau de télé. Son visage et son identité avaient été affichés en direct au pays et ils lui avaient volé le mystère, inutile donc de se cacher derrière son costume face à Beetle. Moon Knight avait affiché l’illusionniste en lui prenant ce à quoi il tenait, son tour. Sa satisfaction de tromper le monde entier. D’accord, il est connu désormais. En fuite, chacun peut savoir qu’il a dépouillé un entrepôt de Stark Industries pendant que le manoir des Avengers brûlait. Mais il aurait sa revanche, et comptait bien offrir à d’autres l'occasion de prendre la leur. Beetle en faisait partie.

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Relancer la machine ( Beetle / Mysterio) Magnet10

Date d'inscription : 20/07/2021

Abner Jenkins, crispé et troublé, décide malgré tout d'agir et de se rendre directement à l'adresse indiquée.
En armure.
Prêt, prudent ; armé.

Il grimace, sous le casque, alors qu'il découvre, après avoir vérifié la zone, l'étrange sphère.
Il lève une main gantée, tremblée, vers ladite sphère... et la touche.

Il se lance. Il ose.

Qu'a-t-il à perdre ? Il est déjà mort. Il est déjà revenu.
Il a déjà perdu.

Ses doigts métalliques se figent sur la sphère… et tout change, alors.

Tout change autour de lui.

Le studio défraîchi, assez miteux, s’évapore. La pièce minuscule, longtemps louée un prix décent, disparaît.
Il est ailleurs. Non.

Abe s’est toujours senti inférieur aux grands esprits de son temps – mais son intelligence pratique, mécanique en ferait un formidable ingénieur. Et il a les réflexes de longues années de bidouillage et de lutte contre des super-héros, et leurs super-armes.
Il n’est pas ailleurs.

Il… est au cœur d’un dispositif holographique.
Extrêmement évolué. Extrêmement efficace, aussi.

Lentement, l’ancien Thunderbolt tourne sur lui-même – et se fige, surpris, en découvrant l’homme qui, rapidement, s’adresse à lui et s’approche.

Mysterio ; tête nue.

Abner, sous le casque, entrouvre la bouche de surprise ; de stupeur.
Mysterio n’a pas son casque.

Il a bien vu, récemment, les déboires du super-vilain à la télévision – une humiliation, une vraie. Un événement que ceux qui partagent leurs habitudes de vie connaissent… mais celui-ci a dû vraiment faire mal.
Surtout pour quelqu’un qui goûte autant la représentation publique.
Surtout pour quelqu’un qui a fait du spectacle sa vie. En devenir un doit crisper, énormément.

« Mmh. »

Un léger souffle s’échappe du casque de Beetle, alors que Quentin Beck achève son discours. Lui laisse son regard glisser autour d’eux, sur tous ces hologrammes, ces éléments ; le cœur, le foyer, la forge de Mysterio.
Loin d’ici, évidemment ; mais il lui montre l’intérieur, quand même.

C’est une marque de… confiance. C’est une main tendue.

Cela surprend Abe. Agréablement.

« C’est… impressionnant. Tout ça. Impressionnant. Bravo. »

Sa voix métallique s’élève lentement en réponse à Mysterio.
Il ne ment pas, il ne flatte pas ; il ne cache pas la vérité. C’est impressionnant, et c’est mieux de le dire.

« Et… ouais. Enfin.
Oui, clairement, une union générale n’est pas possible – trop d’ego, trop d’intérêts divergents. Et franchement… comment dire.
Je vole. Je prends. Je prends ce que la vie ne m’a jamais donné, car je n’ai jamais eu la chance pour ça. Je suis d’accord avec ça.
Mais certains… pff. Je ne peux juste pas collaborer avec un type comme Cassidy, vous voyez ? Ou d’autres, tout autant tarés.
Voler, d’accord. Manipuler, attaquer, d’accord. Blesser, seulement s’il le faut ; en limitant la casse. Mais tuer volontairement ? Massacrer ? Nan. Nan. »

Il souffle, dans son casque, et acquiesce lentement.

« Je… j’ai déjà testé, les unions ; les équipes. Ça… ça a rarement fonctionné. »

De ce côté-là, en tout cas. Les Thunderbolts ont fonctionné – ils ont sauvé le monde, ils ont formé une famille.
Abe a été un héros, avec eux ; grâce à eux.
… et ils l’ont oublié.

« Je… suis intéressé. Mais pour faire… quoi ? Des attaques ? Un syndicat du crime ?
Fisk ne va pas aimer… »

Abner grimace, sous le casque.
Il est intéressé. Il a envie de se lancer. Il a envie d’être aidé, accompagné ; de ne plus être seul.

Mais Jenkins a peur.
De souffrir encore. De souffrir à nouveau. D’être abandonné ; d’être oublié.

Beetle a besoin d’être rassuré.
Même si Mysterio n’est peut-être pas celui qu’il faut pour cela…

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Relancer la machine ( Beetle / Mysterio) 035m

Date d'inscription : 10/10/2020

Beetle abonde dans le sens de Mysterio mais veux éviter les massacres ou assassinats prémédités. Quand à New York, il soulevait que le chef de la pègre New Yorkaise n’apprécierait pas de les voir fonder leur propre syndicat du crime ce à quoi Quentin répondit un doigt levé pour bien relever la justesse de l’observation du voleur au grand cœur.

“Fisk détesterait cela. Qu’il apprenne que nous ayons pour ambition de creuser notre trou sur son territoire et il saisirait la moindre occasion pour nous attraper, nous briser….et nous tuer, si on ne renonce pas. Ce n’est pas pour rien qu’il tient cette ville. Mais...il est intelligent. Il sait peser le pour et le contre et c’est bien pour çà que nous sommes de si nombreux Hors là loi a ne pas lui être inféodé et a vivre sur son territoire tous les jours sans lui rendre de compte. On l’aide, d’une certaine manière. Le temps que la police et les super héros utilisent à nous courir après ils ne lui dédient pas.”

Beck se tournait vers la pièce et manipulait une série de petits hologrammes paraissant au dessus de son bracelet muni d’un écran, sélectionnant des dossiers ils faisait apparaitre une carte 3d de la ville tout autour d’eux. Une représentation plus vraie que nature, ils étaient désormais pareil à des colosses grands comme des gratte ciel et ils pouvaient voir jusqu’à la plus petite voiture en circulation. Des programmes, comme ces petits individus simulaient la vie. Le ciel au dessus d'eux faisait lui aussi des plus réaliste, tout comme les sons lointain de la ville qu’ils percevraient s’ils s’allongeaient par terre ou traversaient les immeubles tel des fantômes. Beck montrât du doigt les éléments clés de la ville qui l’intéressait.

“La tour Stark. Le Baxter Building.”

Il haussa les épaules et un sourire apparut sur son visage.

“Un...manoir en ruine. Une école en ruine. Et une base mobile j’en suis certain même si je ne sais pas encore à quoi elle ressemble, et où elle est. C’est là que se trouvent ou se trouvèrent les héros les plus incroyables du moment. Les plus dangereux. Ceux qui s'opposeront à nos projets un jour ou l'autre ou l'ont déjà fait. Cette gamine que tu as croisé par exemple, est une Avenger. Et tout autour d’eux là, ces tours ces immeuble, ce quartier...jusqu’à la moindre poubelle. Le territoire du Caïd.”

Il se tourne vers Abner debout entre des immeubles de dix étages lui arrivant aux genoux.

“Personne d’autre que lui n’aurait plus de capacité à nuir plus directement aux Avengers, Fantastic Four, ou n’importe quel héro solitaire de cette ville. Il a des milliers des mafieux sous ses ordres, capables d’observer, filer, attaquer des héros même. Mais ils ne sont pas en conflit pour la plupart. Parce qu’ils ont mieux a faire que s’occuper de lui et que cela l’arrange bien. Fisk a conscience de ses limites et ce que je vous propose c’est de déclencher une guerre ouverte entre lui et les héros les plus puissants de cette ville.”

Il tendit ses mains vers le Baxter Building et la tour Stark et claqua des doigts, les édifices disparaissant.

“Que les héros quittent cette ville et plus aucune banque, musée, laboratoire, plus aucun particulier ne sera à l’abris de nous. Ce que vous voudrez Beetle vous n’aurez qu’a le prendre, car ce ne sera pas la police ou la mafia du Caid qui vous arrêtera...”

Il claqua à nouveau des doigts et les tours réapparurent

“...Que Fisk et sa mafia se ramasse sur les héros et on passera derrière pour montrer à ses lieutenants affaiblis qui sont les patrons désormais.”

Il proposait une stratégie tout en finesse loin de celle des brutes qu’on pouvait rencontrer dans cette ville. Mais une stratégie risquée, car si le Caid découvrait la supercherie ils n’auraient plus seulement la police de New York à leurs trousses mais aussi la mafia.

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Date d'inscription : 20/07/2021

Abner Jenkins reste silencieux, alors que Mysterio répond à sa demande – et présente son plan, en fait.

Quentin Beck utilise sa formidable technologie pour illustrer ses propos, avancer ses idées ; ses arguments.
C’est une démonstration, en fait.
Le super-vilain est en plein cours magistral, et il déploie son argumentaire devant son camarade… qui écoute.

Attentivement.

« Mmh. »

Un léger souffle s’échappe des lèvres de Beetle, sous son casque, alors que les différentes cartes s’enregistrent dans son esprit.
Il entend. Il écoute. Il comprend.

« Je vois. »

Il acquiesce, et tourne lentement sa face métallique vers son camarade.

« C’est… un plan. Un bon plan. »

Difficile de dire autrement : Abe ne voit rien à répliquer à Mysterio, en fait. Pousser un ennemi contre un autre, pour ramasser les miettes et anéantir ce qui reste d’eux.
Ça a du sens.
C’est une stratégie brutale et violente – mais hé, c’est ce qu’ils sont, non ?

Une part de lui veut contester, dire non ; il n’en fait rien.
Parce qu’il se souvient de son réveil, de sa solitude. De l’abandon. De la rage.

De la colère.

« Mais… c’est dangereux, non ?
Comment déclencher cette guerre ? Comment faire en sorte que Fisk ne sache pas que… ça vient de là ? »

Il a failli dire nous ; il se retient. Pour l’instant.

« Et… les héros ? Ils ne vont pas nous tomber dessus ? »

Son regard revient rapidement sur la carte, sur les éléments disposés ici et là ; les éléments à disposition.
Les territoires et butins, à disposition.

« Et… comment se diviser tout ça, après ? »

Il y est.
Il est dedans. Il est appâté.

Abner Jenkins se retourne vers le crime, par désespoir, douleur et fureur ; mais il n’est pas stupide pour autant, et n’a pas envie de s’abandonner dans la bestialité bête et méchante.
Il n’est pas Carnage, hé.
Mais… il n’a pas non plus envie de foncer tête baissée vers le danger.

« Comment… prévois-tu de t’en sortir ? De… nous en sortir ? »

Abe souffle, et tourne son casque froid vers Quentin. Mais, en dessous, le visage est crispé – rongé par l’émotion.
Plein d’espoir.

Pour avoir un cadre. Pour retrouver une structure. Pour obtenir une aide.
Pour ne plus être seul.

Pour ne plus être seul… s’il-vous-plaît.

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Date d'inscription : 10/10/2020

Beetle avait des questions évidement. Comment faire en sorte que le Caïd ne découvre pas la vérité? Ou que les héros ne leur tombent dessus. Le subterfuge devait être impeccable et le doute d’une manipulation de Mysterio hors de l’équation sans quoi la mafia n’attaquerait pas les héros, et ceux ci chercheraient ils l’illusionniste au lieu de tomber sur Kingpin.

“Comment nous diviser le territoire tout cela après est prématuré car il nous faut déjà voir le Caïd choir de son trône. Je pense déjà avoir un soutien chez un vieil ennemi d’Iron Fist. Aussi si nous réussissions ce malgré les risques et le défi que cela représente d’opposer deux forces qui nous dépassent...nous diviserions les gains en trois, quels qu’ils soient.”

Beck leva la main pour la refermer et toute la construction holographique de la ville disparu pour ne laisser que la grande pièce, son repaire. Il manipula de nouveaux hologrammes au dessus du bracelet à son poignet et son apparence changea.

Relancer la machine ( Beetle / Mysterio) Illusi10

"Bonjour m’sieur Stark! Essayez de parler vous verrez j’ai synthétisé leurs voix."

Beetle verrait qu’un hologramme avait recouvert son armure énergétique pour la faire passer pour celle d’Iron Man.

Ce sont les rôles les plus logiques à mon sens. L’eternel est un illusionniste aussi personne ne trouvera anormal que je joue avec les perceptions. Iron Man vole, est bien protégé et dispose d’un arsenal conséquent aussi vous pourrez vous battre sans que votre manière de le faire paraisse étrange aux observateurs. Mes hologrammes programmés donneront le change pour les menus détails visuels et auditifs. Vous êtes né pour ce rôle, et avez même un peu la fibre héroïque je me trompe?

Sprite posa ses mains sur ses hanches en s’approchant d’Iron Man.

“Maintenant tout ce qu’il nous reste à faire c’est d’appeler notre ami Iron Fist pour donner une bonne trempe aux hommes du Caïd et les livrer à la police. Il va adorer!”

Une première action qu’ils mèneraient avec Davos pour tester la capacité de nuisance des Nouveaux Maîtres du mal…

HJ

Spoiler:

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Date d'inscription : 20/07/2021

« Mmh. »

Un souffle lourd s’échappe du casque de Beetle, alors qu’il lève ses mains gantées devant lui – ses mains désormais recouvertes d’or et de rouge, et non plus de ses couleurs.
Troublant. Surprenant.
Crispant.

Il n’aime pas ce qu’il voit… parce que ce qu’il voit rappelle bien trop, comme les mots de Mysterio, une période de sa vie qu’il considère passée.
Car elle l’a fait trop souffrir.

« Je vois. »

Il acquiesce lentement, et fige son regard sur Quentin Beck – un homme doué, un homme inspiré, un homme qui a un projet.
Un homme avec lequel Abe est prêt à travailler. Comme cet ennemi d’Iron Fist, qu’il croit identifier et qui correspond à ceux qu’il tolère.

Des criminels, qui ne sont pas des monstres.

« Je… suis partant. »

Il hoche la tête, encore.

« Je… travaillerais sur mon armure, pour que plusieurs éléments correspondent à celles de Stark – ce n’est pas compliqué. Son travail est efficace, mais régulièrement grossier et lourd.
C’est un bourrin. Avec du style, mais un bourrin. »

C’est faux : Tony Stark est un artiste de l’ingénierie, et Abner jalouse énormément son talent pour la simplicité et la fluidité.
C’est pour cela qu’il s’acharne, ici.
Aussi pour essayer de jouer des muscles, devant un Mysterio impressionnant.

« Collaborons, alors. Voyons ce que cela donne.
Lançons cette guerre entre eux.
Et récupérons ce qui reste. »

Car c’est tout ce à quoi ils ont droit – il a droit. Les ruines.
Les ruines de la ville.
Les ruines du pouvoir.
Les ruines de sa vie, surtout.

Jenkins évacue cette pensée, et scelle son accord avec Mysterio. Non sans grimacer, sans le casque.
Il est d’accord. Il est motivé.
Mais il est mal, toujours.
Et il s’enfonce dans le mal.

Encore.

(HJ/ Merci pour ce RP, vivement le début de nos mauvaises actions ! Very Happy

/HJ)

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