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[Transylvanie] Un tyran en chasse un autre | Messages : 1460
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[Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Mar 1 Fév - 22:09 | |
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Von Fatalis termine a peine son annonce de l’annexion de la Transylvanie à son pays la Latverie qu’un convoi d’une douzaine de voitures arrive à la frontière avec la Roumanie. Ceux qui se faisaient discrets pendant le règne de Dracula ne comptent plus l’être maintenant que celui de Doom commence car ils ne sont pas seuls. Domino les a démarché et prévenu de l’invasion imminente, dès qu’il fut évident que les Doombot étaient là pour rester et pas uniquement vaincre les vampires tout se mit en branle.
La frontière avec la Roumanie n’est plus qu’a quelques kilomètres maintenant et celle ci ouvrira grand les bras aux fuyards. Une place à Bucarest est déjà prévue pour ce futur gouvernement en exil qui demandera le rattachement de la région Transylvanienne libérée de Dracula au pays voisin membre de l'Union Européenne et éminemment plus rassurant que celui du tyran d’a coté.
Sur le siège passager de la Lada Niva en tête du convoi Neena regarde sa montre, stressée. Ils y sont presque et les Doombot ne leur sont pas tombés dessus, ils doivent avoir des menaces plus importantes à régler comme les derniers vampires qui ne se seraient pas rendus.
Ou du moins ils l’espèrent tous. Chacun des hommes et femmes dans ces voitures n’attendent que d’être en sécurité pour engager une nouvelle voie plus libre pour leur région natale un lieu peu peuplé et pauvre où ils n'avaient été vu que comme des réservoirs à sang pendant des siècles.
Cette mutante ne les aurait pas démarché pour partir ils n’auraient pas osé. Comment auraient ils pu? Ils ne savent pas organiser ce genre de choses ou même se battre. Mais être aux cotés de la mercenaire avait quelque chose de rassurant, ce n’était pas eux qui porteraient des armes de toute manière. Eux étaient de simples civils coincés entre leurs aspirations à une nouvelle vie et un dictateur effrayant, et la liberté était à portée maintenant. |
| | Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Mer 2 Fév - 12:34 | |
| "Docteur Von Doom, nos drones en Transylvanie nous signalent qu'un convoi d'une douzaine de voitures se dirigent vers la Roumanie. Ils prennent la fuite du pays."
Doom savait très exactement tout ce que cela impliquait et signifiait ... Mais il s'y attendait. Son esprit avisé savait également réfléchir de manière tordue, en vue de son passé, et il avait vite compris que si, en des centaines d'années d'existence, la Roumanie n'avait pas levée le petit doigt face à la menace vampirique qu'incarnait Dracula, elle se sentirait pousser des ailes, une fois que Doom aurait fait tout le travail.
Parce qu'avec son changement, il paraissait plus faible. Plus conciliant. D'autant plus que les natifs n'auraient jamais tenté une chose pareille sans une aide extérieure. Sans l'aide d'un Avengers, ou d'un quelconque héros. Peut-être même, et très certainement, un héros qui l'avait aidé à prendre d'assaut le château de Tepes.
"Bandes de vieux bureaucrates ingrats ..."
Les héros ne se serraient pas rebellés contre lui s'il était Reed Richards, ils lui auraient fait confiance, ils l'aurait laissé gérer la transition du pays. Mais il était Doom avec des actions qui différait des leurs. Et depuis le jour où il les connaissait tous, ils n'avaient jamais cherchés rien d'autres qu'à le vaincre, alors même qu'ils partageaient le même but, en réalité. Doom ne comprenait pas réellement pourquoi les héros s'acharnaient contre lui, à lui faire si peu confiance, alors même qu'ils accordaient en Richards une foi inébranlable.
"Qu'arrive t-il, Seigneur Doom ?"
Doom se leva de table, serrant les poings dans son dos, et regarda Doomstadt par l'une des larges fenêtres du salon. Il ne déjeunait pas seul, aujourd'hui. C'était un honneur pour la dizaine de jeunes de dîner avec Victor. Ce dernier n'était pas spécialement bavard lors de ce genre d'évènement, mais il n'en était pas moins apaisé. La présence d'enfants calmait le coeur ardent du roi de Latvérie, aussi bizarre que cela puisse paraître.
"Des choses auxquelles des enfants ne devraient pas avoir à s'intéresser ... Des trahisons, des complots ... Mais qui requiert mon attention. Je vais devoir écourter notre conversation, mais ce n'est que partie remise, mon enfant."
"Mon père dit que vous êtes incompris, et que lorsque vous êtes incompris, votre courroux est sans égal, c'est pour cela que les gens ont peur de votre puissance. Mais il nous dit aussi de ne pas nous énerver lorsqu'on nous insulte à l'école. C'est contradictoire."
Doom hausse un sourcil et regarde la fillette avec intérêt. Jamais il n'aurait cru recevoir de leçon instructive d'une personne pas plus haute que trois pommes et pourtant, elle commençait à bien lui rendre son invitation pour déjeuner en présence de son roi.
"Alors que pense tu que je dois faire, petite ?"
"Peut-être qu'au lieu de vous venger et de gronder nos ennemis, vous devriez tenter de les comprendre et entamer un dialogue ?" s'empressa d'ajouter un jeune homme qui voyait que la discussion avait touché la curiosité de Doom.
"Peut-être qu'après nous avoir protégé du monde, il serait temps d'en construire un meilleur, où les ennemis n'auraient plus l'occasion de nous en vouloir ?"
Doom était près à toute les expériences tordues pour protéger son foyer, et ses habitants. Mais Doom était loin d'avoir un coeur de pierre. Il baissa les yeux vers ses protégés, et esquissa un sourire visible.
"Vous êtes des enfants avisés. Je suis fier que mon pays abritent des jeunes gens aussi intelligent. Vous ferez la fierté de Doom lorsque vous serez plus grands encore."
Malheureusement, ils étaient encore bien trop jeunes pour comprendre le monde qui les entourait pleinement. Même si ces paroles resteraient longtemps une source d'inspiration pour Victor, il était bien le seul que ces mots percutaient. Parce que s'il essayait de comprendre les autres ... Les autres ne le comprenaient pas. Et essayer de les faire changer d'avis était une perte de temps selon lui.
Mais il essaierait.
"Valeria" commença t-il a parler dans son communicateur. "Active moi tout les drones en Transylvanie. Que le convoi face route en Roumanie ou qu'une cinquantaine d'autre se déplace en Hongrie ou en Serbie, je veux le savoir. Active les Doombot normaux ... Comme les plus spéciaux. Je ne sais pas ce qui va me tomber sur le coin de la figure et ce n'est peut-être rien ... Mais on n'est jamais trop prudent. Je me rend tout de suite à la frontière, accompagné de quelques Doombot déjà actif. Qu'ils ne tardent pas"
S'il se mettait à parler comme Stark, c'était parce qu'il avait travaillé sur une IA, également, qui gérait l'ensemble de son réseau sécuritaire. Prénommé Valeria ... Comme la première femme qu'il avait aimé.
"Je réfléchirais à vos mots, jeune fille. Vous êtes bien plus érudite que certains journalistes."
Sur ce, il créa un portail qui l'amena directement à la frontière, laissant la ses convives qui seraient raccompagnés par un robot de service, tandis que d'autres Doombot le suivirent dans la foulée. Et à peine sentit-il l'air froid déferler dans ses yeux et ses lèvres que ses propulseurs lui permirent de voler en direction de la localisation fournie par son IA. Il ne suffit que cinq minutes à Fatalis pour voir les voitures en file indienne sur la route. Cela montra à la fois la rapidité de son action, mais également le fait que la frontière n'était plus si loin que ça. Il les dépassa d'assez loin pour ne pas provoquer d'accident, puis se posa en plein milieu de la route, tandis que ses Doombot se placèrent à ses côtés, pour ne pas que les véhicules le contournent : ils n'avaient pas d'autres choix que de s'arrêter. Ils étaient nombreux, trop nombreux pour parler d'une voix forte sans se briser les cordes vocales. Il faudrait les faire sortir et sans doute paniqueraient-il. Mais Doom ne comptait pas les faire sortir de force, pas pour le moment.
"Fut-un temps où j'aurais envoyé des roquettes sur votre convoi, où vous auriez tous rôti dans les flammes, et où je serais reparti tranquillement manger ma dinde ..."
C'était un murmure, imperceptible. Personne n'avait sans doute compris qu'il avait parlé. Mais de l'un des Doombots, qui avaient analysés ces paroles grâce au communicateur, la voix de Doom raisonna, dans toute la plaine, d'une voix tonitruante, de ces mêmes parole. Et tout les mots furent alors entendu distinctement par tout ceux à qui ils étaient adressés. L'entrée en matière était menaçante, mais elle montrait l'étendue de la puissance de Doom : il avait le pouvoir de vie et de mort sur eux.
"Docteur Doom, vous n'avez pas pris la peine de regarder les images parce que le temps pressait, mais les caméras ont découvert une correspondance avec Domino qui serait dans l'un des camions."
Il n'en fut pas surpris. Son visage ne changea nullement. Il aurait misé sur Moon Knight à cause de son départ précipité, ce qui voulait dire que ce dernier cachait sans doute quelque chose de pire encore. Mais Domino, c'était en réalité une action assez logique de sa part. Cependant ... Il avait des cartouches contre elle. Et il n'hésiterait pas à s'en servir.
"Je veux vous parler. A tous. Je ne vous veux pas de mal, mais ce que vous faites maintenant pourrait avoir des répercussions que personne d'entre nous ne voudrait. Alors prenons le temps d'en parler."
Les paroles furent de nouveau répétées et amplifiées. Et à ces mots, Doom se demanda finalement s'il se ferait prendre d'assaut par des hordes de civil sans cervelles, ou s'ils écouterait ses mots d'apaisement et sortiraient de leurs voitures. |
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Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Lun 7 Fév - 21:29 | |
| Le convoi s’arrête lorsque Doom atterris sur son trajet. Aucun des civils n’est armés et quand bien même ils n’auraient aucune chance face à Von Fatalis le célèbre dictateur Latverien et adversaire des Quatre Fantatiques. Neena se tourna vers le chauffeur terrifié à coté d’elle pour lui parler d’un ton rassurant. “Bon. Comme convenu vous me laissez parler.”C’est leur destin qui se joue mais ils lui font confiance a elle qui semble savoir ce qu’elle fait. Neena a peur pourtant, car il reste la possibilité que Fatalis exploser tout et elle avec puis dissimule les preuves. Pas vu pas pris, une fosse commune ou un faux accident et on en parle plus de cette tentative désespérée d’échapper à son gant de fer.
Mais Neena n’est pas née de la dernière pluie. Depuis leur accueil en Latverie elle a bien vu que Doom essaie de se refaire une virginité, se présenter comme un dirigeant éclairé un peu autoritaire sans être un dictateur pour autant. Seulement voilà, tant qu’il n’y aura pas d’élections libres avec une opposition autre chose que fantoche dans cette monarchie absolue d'un autre âge, une vraie liberté de la presse ou un arrêt de l'état policier elle ne le verra toujours que pour ce qu’il est: Un dictateur qui a trop peur d'être chassé par la volonté populaire pour organiser des élections où des gens seraient assez rassurés pour se présenter contre lui.
Un dictateur avec de beaux discours qui visent à draguer les super héros pour qu’ils lui lâchent un pays dont tout le monde se fiche certes, mais la base est là. S’il veux continuer a être pris pour ce qu’il n’est pas il devra lâcher un peu de lest, donner le change. Sa bonne image il devra la donner avec autre chose que des invitations à dormir à l'hôtel et des promesses qu'il sera gentil. Il doit l'être. Et çà commence maintenant alors Domino tente sa chance pour ces gens. Elle a peur elle aussi mais le cache pour qu’ils ne flanchent pas. Fermant la porte de la Lada elle marcha sur la route jusqu’à s’arrêter face à lui.
“Docteur Fatalis. Vous ne pensiez pas réellement empêcher ces gens de vivre enfin dans un pays libre? Vous ne vous êtes pas battu tout seul contre Dracula je vous rappelle, pourquoi ce serait vous qui décideriez de l'avenir de la région sans au moins nous en parler?” Elle aurait pu commencer avec quelques formules destinées à excéder son adversaire, c’était son style d'ordinaire. Mais là c’est diffèrent. Cet adversaire est terrifiant et il ne s'agit pas que d’elle mais de ceux dans les voitures derrière. Elle leur doit la meilleur défense contre le tyran qui avait annoncé remplacer le précédent. |
| | Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Mer 9 Fév - 18:02 | |
| La première question de Domino agace déjà le monarque latvérien, alors même qu'elle n'a pas terminée sa phrase. Et alors, s'il comptait empêcher les gens de partir du pays, qu'allait-elle y faire ? Tirer dans son armure en titane ? Si la moindre attaque était exécutée à l'encontre de Doom, il y répondrait de l'unique manière possible. Bien sûr qu'il avait l'avantage, et bien sûr qu'il avait de quoi répliquer si des êtres bien plus puissant attendaient la moindre crise de nerf de Fatalis pour lui bondir dessus. Alors pourquoi Domino tentait-elle quelque chose de si idiot, sans venir à Doomstadt alors qu'elle avait une invitation ? Parce qu'elle avait des alliés ? Pour l'héroïsme de la chose ? Une telle action dépassait Victor autant que ça l'excédait
"Je suis déçu."
De haut en bas, il la toise, non pas d'un air contrarié, mais résigné. Résigné à devoir affronter une fois de plus des héros qui ne le croyait pas, qui le rabaissaient à un statut de dictateur sans foi ni loi. Alors qu'il instaurait des règles, et croyait en certaines choses que les autres ne comprenaient pas.
"Il va falloir que vous m'expliquiez ce que vous entendez par liberté. Sous ma tutelle, la Transylvanie restera libre, sous la loi de Doom. Elle est stricte, mais nécessaire. S'ils passent la frontière, ils seront libres de subir la corruption, la mafia, l'insécurité, le racisme bien implanté en Roumanie et j'en passe. De tous, je pensais que vous seriez la plus à même de comprendre les bienfaits de l'isolationnisme ... Domino."
Victor faisait clairement référence à Krakoa, avec laquelle il avait passé une alliance, non officielle pour le moment sur les ordres du Fauve. Mais elle était une mutante, et Doom comprit assez vite qu'elle ne devait pas être au courant de son traité avec Magneto : après tout, cela était confidentiel, et elle avait passé au final plus de temps sur le terrain ces derniers temps que sur l'île paradisiaque.
"La Transylvanie n'est pas un pays aisé, mais sous ma protection, il deviendra prospère. Grâce à mon accord avec Krakoa, les soins médicaux ne seront plus un problème pour les locaux. Cette alliance est bien sûr officieuse avec le conseil silencieux pour le moment mais ... En temps qu'habitante de l'île, je suppose que vous êtes tous au courant."
Doom était persuadé de l'avoir pris de court. D'abord, parce qu'il était certain qu'elle était beaucoup en action en ce moment, et s'il en était tant persuadé, c'est parce qu'elle se trouvait là, devant lui : Krakoa n'aurait pas remis tout en jeu pour une trentaine de civils humains. Alors il la regarda de nouveau dans les yeux.
"Non, c'est bien vrai, je ne l'ai pas vaincu seul, et je vous en remercie, comme je l'ai déjà fait. Comme je vous ai accordé le droit de circuler dans mon pays pourtant fermé. Pourtant au lieu de chercher le dialogue, vous tenter de vous frayer un chemin pour fuir illégalement avec des civils. Vous mettez des vies en danger inutilement. Je ne vous ai pas parlé de l'annexion puisque cela ne semblait pas utile. Je doute, que vous vouliez diriger une nation, même Moon Knight ou Circé. Dans ce cas nous pouvons en discuter. Mais je ne laisserais pas des pays qui ont laissés celui-ci à son sort décider de son avenir, d'autant que tout ce qui nous entoure est gangréné par les maux les plus vils. Des maux auquel j'ai juré de mettre un terme, et la Transylvanie sera épargné par ce mal. Doom l'a ainsi décidé."
Ses paroles étaient implacable : pour lui, la Roumanie ne méritait pas d'obtenir plus de territoire. Elle n'avait perdue ni vies humaines, ni matériel pour la débarrasser du joug du roi vampire. Victor ne s'était pas donné tant de mal pour céder ce pays à un voisin. Les autres n'avaient pas donnés leurs sang pour obtenir la terre de Tepes. Doom l'a fait, et les autres héros aussi. Mais lui seul savait diriger une nation. Après avoir expliqué son point de vue, Fatalis se relâcha, tenta de se détendre, malgré la situation, pour ne pas paraître totalement agressive envers son interlocutrice. Il se rappela des paroles de l'enfant. Comprendre. Avant. D'attaquer. Il répliqua cette doctrine, pour changer de méthodes. Pour voir si les choses pouvaient s'améliorer de cette manière.
"Je vous ai accordé la liberté de parcourir mon pays, de venir dans ma ville, pourtant vous persistez à forcer le passage, à contredire la loi de la Latvérie. Deux incidents diplomatiques en moins d'un mois. Vous continuez à ne pas me faire confiance, sous couvert de vos définitions de "dictateur". Pourtant, lorsque Richards à crée une prison pour super-héros dans la zone négative, vous ne lui en avez pas tenu rigueur. Lorsqu'un marchand d'arme international, semant la mort et la destruction par ses ventes sur tout le globe et sur son propre sol pendant la guerre civile, s'est muni d'une armure pour faire le bien, vous avez oubliés. La menace du Hulk n'est que du passé parce que vous avez tous décidés de l'aider. Alors Fatalis vous le demande : pourquoi transgresser les règles alors même que je vous permet la discussion ?"
Victor attendait une réponse honnête. Il ne savait pas s'il aimerait la réponse, ni comment il réagirait. Il espérait qu'elle aille dans son sens, mais se préparait au contraire : si elle était soucieuse de bien se faire voir par le dictateur ... Elle ne serait pas là. |
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Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Jeu 17 Fév - 19:08 | |
| Celui ci cachant son visage derrière un masque Domino ne peut interpréter la contrariété ou la déception du dictateur. Elle n’est pas du tout d’accord avec lui quand elle l’entend parler mais est ce que c’est étonnant? Il fallait être franchement dérangé pour être persuadé qu’un pays restait libre quand on ne pouvait y organiser d’élections pour contester son pouvoir. Doom est persuadé d’être si apprécié? Bah alors pourquoi il lance pas des élections en s’y présentant alors? Mais attention des votes sans menacer l’opposition et avec des journalistes qui n’auraient pas peur de finir pulvérisé pour un mot de travers. Cette interception à la frontière seule est un aveu d’échec de sa part, d’incapacité a offrir la liberté qu’il promet pour ces gens. Il ne devrait pas avoir à employer la force pour soumettre, la majorité devrait pouvoir décider et lui ne comptera toujours que pour un. Alors certes, la démocratie c’est pas parfait. Krakoa n’est même pas vraiment une démocratie "classique". Mais l’aveuglement du Latverien la révulse.
Cependant…quelque chose vient tout bouleverser dans ce bras de fer avec Doom destiné à lui faire tomber le masque, le faire céder. Une alliance avec Krakoa. Sa jeune nation à elle, l’espoir pour les mutants d’un avenir meilleurs. Son visage trahirait assurément sa surprise.
“C’est vrai çà? Krakoa a un deal avec vous?”
Elle n’est pas encore au courant, çà n’aurait sans doute pas tardé mais tout était allé si vite. Elle se retrouve piégée maintenant, car elle doit faire un choix entre forcer Doom à révéler ses intentions ou défendre les intérêts d’un espoir si fragile pour les siens. Elle n’a pas le droit de tout faire foirer, pas après tout ce qu’ils ont subis. Elle s’approcha encore de Doom pour lui montrer qu’elle n’a pas peur. Des crampes lui saisissent les cuisses pourtant, comme si son corps lui disait d’arrêter là. Comme si sa chance elle même trouvait un moyen de la protéger, de l’alerter. Ne joue pas trop sur ce coup là car ce pourrait être le dernier.
“Libre sous la loi de Doom ce n’est pas être libre. Et ne me parlez pas de la sécurité que vous offrez à vos sujets s’il vous plait, vous êtes trés cultivé et avez sans doute lu Rousseau. On vit tranquille aussi dans les cachots, c’est assez pour s'y trouver bien ?
Je ne fuis pas illégalement de Transylvanie car vous n’en êtes pas le dirigeant légitime mais auto proclamé Fatalis, soit vous l’ignorez et c’est indigne de votre intelligence soit vous êtes dans le déni. Et je penche franchement pour cette seconde option. Dracula était le dirigeant et on l’a tué ensemble. Vos troupes ont beau être sur place c’est vous qui assurez au monde avoir la légitimité de l’annexer mais encore faudrait il qu’il vous reconnaisse comme le nouveau maitre des lieux. Et petit détail pour vous j'imagine, que les gens d'ici le fassent aussi.”
Cependant quelque chose changeait la donne. Krakoa le reconnaitrait elle. Et…si c’est vrai alors ce doit de lui suffire. Le monde ne reconnaitrait pas Krakoa qu’elle serait prête à tout pour la défendre quand même alors il ne fallait pas se mettre à dos ce nouvel allié. Ce…seul allié, apparemment. Quelle tristesse qu'ils en soient là.
“Vous vous trompez sur moi il ne suffit pas de m’accorder le passage chez vous, ou de donner le pouvoir au Moon Knight ou Circé sur ces gens. Vous ne voyez les choses que sous cet angle, quelqu’un de seul un grand “Etre providentiel” qui apporterait la lumière. Laissez libre le monde de ne pas y croire et acceptez qu’on vous résiste comme vous nous résisteriez si on vous disait de nous obéir.”
Pour elle Fatalis n’est qu’un homme ivre de puissance s’imaginant que tout ce qu’il fait est de facto bon puisqu’il est parmi les plus forts. Une grande intelligence pervertie par une vanité visiblement toujours sans bornes, quoi qu’il clame haut et fort.
Il avait cependant marqué des points avec les fautes des super-héros, les fautes oui, pas des erreurs. Eux aussi sont ivres de puissance parfois. Mais il…il a gagné. Non pas parce qu’il a raison elle en est persuadée mais parce que stratège il a su s’allier aux bonnes personnes. Et çà la révulse de devoir laisser les gens d’ici, cette région, devenir Latveriens sans rien pouvoir y faire. Juste parce qu’il l’aura eu par la force dans l’indifférence générale. Empêcher les brutes de prendre les choses par la force c’est le rôle des superhéros normalement. Ce ne devrait même pas être elle qui est là en ce moment, qu’est ce qu’ils foutent? Merde! Son visage se fait moins dur.
“Il me faut des garanties. Liberté de circulation pour les gens d’ici, qu’ils soient libre d’émigrer s’ils le souhaitent. Si vous prenez leurs Terres laissez leur au moins la vie qu’ils veulent. Et un moyen pour moi de venir contrôler qu’ils sont libre de partir ou rester, que personne ne se fait enfermer parce qu’il vous a regardé de travers. Si la vie est si rêvée que vous le dites ils choisirons de rester.”
Elle continue a exiger des choses pourtant, ne lâche rien. Parce que c'est ce qui est bien, dans l'intérêt de la majorité. La préservation des libertés individuelles.
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| | Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Lun 28 Fév - 22:40 | |
| Doom n'est pas le moins du monde surpris lorsque Domino offre, elle, une grimace évocatrice. Elle est déjà pratiquement en échec, car maintenant, c'est une vingtaine de pauvres civils dans la balance face à tout le soutien dont à besoin sa nation mutante. Mais Victor ne compte pas arrêter le débat d'idée pour autant, pour le moment, car il veut faire comprendre à son interlocutrice qu'il n'y a pas d'autres solutions. Pas d'autres optiques, de son point de vue, que de la Transylvanie devienne la nation de Doom. Et il sait qu'elle ne peut répliquer lorsqu'il met sur la table la question des fautes des héros les plus connus du globe. Il espérait une réponse concrète, mais il n'a eu qu'une demande, signe qu'elle n'avait rien à y répliquer.
"Oui, j'ai une alliance avec Krakoa, parce que je crois sincèrement que cette nouvelle nation est une idée brillante, et qu'après toute les épreuves qu'ils ont subis, ils ont bien le droit à cet Etat qui leur est dédié. J'ai cru comprendre néanmoins que la Latvérie est l'un des seuls pays de cet avis."
Il avait même ouïe dire que des héros s'opposaient à un tel rassemblement de cette communauté. La peur, sans doute. La peur était la source de tout les maux des mutants, avec la jalousie. C'est parce que les gouvernements et les populations ont peurs des pouvoirs des homo superior qu'ils les rejettent. Qu'ils créent des armes de destructions massives, telles que les Sentinelles, pour les exterminer. Mais Doom n'avait pas, ou plutôt n'avait plus peur. Il ne convoitait plus leurs pouvoirs, il ne voulait pas les étudier davantage en les disséquant. Alors il avait tout simplement reconnu Krakoa comme un Etat indépendant. Cela lui semblait être la logique même à suivre. Krakoa et la Latvérie avaient bien plus en commun que les esprits faibles ne mesuraient pas.
"La loi de Doom est la liberté. Mais elle s'arrête là où celle des autres commence. Cela se concrétise par un taux de criminalité qui ne dépasse pas les 5%. Alors oui, elle est moins dynamique : pas d'Electro qui fait griller le premier boulanger de la rue? ou de marchand d'arme qui essaye son trentième prototype d'Iron Monger sur un concurrent, mais la vie y est paisible, pour tous, à partir du moment où ils n'entravent en rien le bon fonctionnement de la société. Mais ce n'est pas à vous que je vais expliquer comment diriger un endroit."
Fatalis jouait du sarcasme pour se faire entendre et souligner le ridicule de ce qu'on entendait par la liberté, qui pouvait avoir plusieurs sens et qui, pour lui, était poussée à son paroxysme dans toute régions un peu trop démocratiques.
Il partait d'un constat simple : un citoyen ne sait pas ce qui est bon pour lui. Il va voter le contraire du dirigeant actuel par soucis de contradiction, parce qu'il n'était pas satisfait de comment l'administration avait géré son problème de voisinage. Doom n'avait confiance en personne : pas en ses opposants politiques, pas en sa population, foutre dieu pas en des journalistes, encore moins en des héros, ni en des envahisseurs, des dieux ou des putains d'extraterrestres.
Doom n'avait confiance qu'en lui même. Sur absolument tout les domaines, et encore plus pour protéger la planète. C'est aussi pour ça qu'il souhaitait être le meilleur en tout : pour être le plus apte à s'occuper de tout les problèmes. Les opposants politiques qui avaient un programme autre que le sien ? Il n'en avait jamais rien eu à faire, et s'ils avaient le malheur de répandre un peu trop leurs âneries dans tout Doomstadt, ils étaient repris à l'ordre. Enfermés, tués, ou exilés dans les bons jours de Doom.
Lorsque Domino annonça qu'il n'était qu'un dirigeant autoproclamé, c'était bien tout le problème : il n'avait absolument confiance en personne pour reprendre le pays. Il avait pitié des citoyens qui se faisaient bouffer chaque jour par des vampires en manque de sang sous les ordres de Tepes, mais désormais, c'était fini, et il ne comptait pas les laisser en Roumanie où s'étalait la corruption, la criminalité et tout les autres méfaits dont étaient capables les hommes qui n'étaient pas dirigés sous une poigne de fer.
"Oui, je suis le leader autoproclamé de la Transylvanie, parce que je sais pertinemment qu'on ne dirigera pas mieux que moi. Je ne laisserais pas un pays qui vient d'être libéré continuer d'être en proie à la corruption et à l'écrasement. Ils ont droit à une stabilité, une stabilité que je peux leur apporter. La Roumanie n'a jamais rien eu à faire de ces gens, n'a jamais bougé le petit doigt pour défaire leurs dirigeants. Et parmi la population, il reste encore des oligarques, des vampires, des renégats et des mercenaires. Je ne laisserais pas non plus des corrompus prendre le pouvoir."
Cela sonnait comme le point final, Doom étant réputé pour son inflexibilité et son implacabilité sans bornes. Mais il n'avait pas fini.
"Néanmoins, tu as raison sur un point. Je ne m'encombrerais pas de gens qui croient dur comme fer que je suis le mal, malgré tout ce que je fais dans le sens contraire. Le contrôle au frontières sera toujours aussi strict. Mais avec les démarches nécessaires, ils pourront partir. Les gens pourront venir habiter ici, aussi, avec un contrôle toujours aussi soigneux. Néanmoins, je crois dur comme fer qu'ils resteront. C'est chez eux, ici, au fond. Et vous verrez que sans le territoire, la Roumanie ne les prendra pas : parce qu'avec votre liberté, des politiciens populaires croient toujours qu'on ne peux pas accueillir toute la misère du monde. Quelle ironie."
Il pointa alors du doigt le reste du convoi, derrière Domino - qui s'était bien avancée, malgré le fait qu'elle ne soit pas réellement en position de montrer sa détermination.
"Tu peux leur dire que dans quelques semaines, ils seront libre de partir, après que j'ai examiné longuement et soigneusement leurs identités, qu'ils figureront dans des registres et toute la paperasse adéquate. Mais s'ils complotent, ou qu'ils tentent de prendre ce pays par la force, ils devront faire face à l'armée de Doom. Et tu pourras regretter l'instant où tu t'es organisé avec ces criminels pour les faire sortir lorsque les rangs de l'armée ennemie seront jonchés de centaines de morts inutiles. Quant à toi, je te l'ai dit : tu es libre de te déplacer ici. Tant que tu ne fais rien d'illégal sur mon territoire, et crois en Fatalis, je vois tout ce qui s'y passe. De toute manière ... Tu peux toujours te rendre ici ou à Doomstadt. Il y a des portails venant tout droit de Krakoa." |
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Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Jeu 3 Mar - 17:16 | |
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Doom est une ordure et lui démontre à nouveau. Les gens derrière elle? Des criminels à ses yeux. Se révolter contre lui qui n’a aucune autorité légitime sur eux est un crime çà pose les bases d’une dictature comme dans le pays voisin. Ils en étaient là. Les super héros avaient libéré ce pays des vampires avec Doom et lui laissaient celui ci. Les Nations Unies s’en fichent apparemment parce que pour elle un Tyran chasse l’autre et rien de plus. Et puis au moins s’en est fini de ces foutus vampires non? “La liberté de vos citoyens ne s’arrête pas où commence celle des autres, mais là où commence la votre.”Car dans le régime de Von Fatalis les autres n’ont pas voix au chapitre. Il impose car il sait mieux que tout le monde et fait taire ceux qui sont en désaccord. Domino n’a pas pu permettre à ces gens de décider de leur destin mais… S’il ne ment pas alors elle les a sauvé. A su négocier de quoi leur permettre de partir si la vie n’était plus supportable. Doom souligna que les pays voisins ne voudraient sans doute pas accueillir toute la misère du monde. “Ils les accueilleraient.”Car ils sont blancs. La solidarité envers des réfugiés fuyant un dictateur n’est étrangement plus la même dans ce cas là, c’est horrible mais se vérifie. “Laissez moi leur parler.” Elle se retourna en grimaçant, retenant sa colère d’exploser. Marchant sur la route elle regagne les voitures où des gens sont descendus.“Alors?” “Il faut faire demi tour. Le régime Latverien va vous recenser et vous aurez le droit de partir ensuite.”“Et on est Latveriens maintenant?” “Oui.” “Mais faites quelque chose vous aviez dite que vous nous aideriez!”Cria une femme qui tenait un bébé dans ses bras.“Je me suis trompée. Personne ne vous aidera. Ni la Roumanie ni l'Europe, ni les Nations Unies ni…” …Ni les mutants qui sont alliés à Doom. L’un des hommes en colère chercha a s’en prendre à elle pour la secouer mais elle recula d’un pas et il glissa sur le bitume détrampé pour finir par se cogner la tête sur la carrosserie de la voiture a coté de lui. Sa chance à elle ne lui en laisse aucune à lui. Il reste sur le cul en se retournant, trempé par la pluie. Le désespoir, le sentiment d’être trahi se lit sur son visage quand c’est la colère chez d’autres.“Vous…pourquoi être venu nous voir. Pourquoi nous avoir donné de l’espoir, après toutes ces générations où on a subi les vampires. Vous…vous auriez mieux fait de vous taire au lieu de jouer à ce que vous n’êtes pas !!! C’est quoi votre problème hein, des saloperies à racheter? C’est çà les super héros des gens qui vous filent de l’espoir pour mieux vous trahir?...-”“-Je ne suis pas une super héroïne.”Lâcha t’elle froidement en se retournant pour ne plus les regarder. “Dites aux transylvaniens qui partiront de ne rien tenter pour reprendre leur pays, sinon Doom les fera assassiner.”Et des gens qui font le même boulot qu'elle avec moins de scrupules s'en occuperont. Sans un mot ou un dernier regard pour eux elle partit dans l'autre sens de la route, marchant vers la frontière roumaine sans regarder d’avantage Von Fatalis. Les gens rentrèrent dans leur voiture et firent demi tour pour regagner leurs maisons. Personne dans ce pays n’avait moyen de contester la mainmise de Doom et ceux en dehors qui le pourraient, ne le voulaient pas.HJ: - Spoiler:
Je te remercie pour ce RP certes très court mais qui acte pour mon personnage le début des concessions qu'il doit faire pour Krakoa.
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| | Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre Jeu 3 Mar - 18:35 | |
| Doom entend les paroles de Domino, mais sa logique est bloquée de la même manière qu'il a pu en faire la démonstration auparavant : la liberté des autres s'arrête là où commence la sienne. Mais sa propre liberté est de fait celle de la Latvérie, et du monde en général. Ainsi pense Victor Von Doom. Leurs points de vues divergent, mais Fatalis n'entend pas aller plus loin, estimant qu'il a déjà fait un immense effort. Auparavant, on aurait ni retrouvé le corps de la mutante, ni des partisans d'un nouveau régimes, calcinés par les flammes dans ce camion.
Son interlocutrice préféra parler aux voyageurs d'elle même ... Et comme il s'y attendait, cela termina mal. Ceux qu'elle était venu aider se retournèrent rapidement contre elle, passant leurs nerfs sur l'héroïne contrainte d'abandonner la mission qu'elle s'était elle même donnée. Elle était seule, désespérément seule, et elle avait dû faire le choix de renoncer à mi chemin, si près du but. Doom ne comprit pas réellement à quoi elle s'attendait, mais il regarda la mutante faire, et vit de ses yeux que les paysans s'apprêtaient à en venir aux mains ... Cette décision se retournant bien vite contre eux.
Doom regarda d'un oeil froid la scène. Des yeux d'un dirigeant, et malgré tout, droit dans ses bottes quand à la décision qu'il venait de prendre, qu'il pensait être la meilleure. Ces gens seraient en vie, au final, la guerre serait évitée grâce aux paroles de Domino. Au final ... Tout allait pour le mieux, sauf pour la mutante, probablement des plus torturées. Il ne prenait aucun plaisir à regarder ce spectacle infâme. Sans doute honteuse devant la réaction des nouveaux latvériens, elle parti dans son coin, sans un regard pour les civils, ni même le monarque.
"Vous passez de criminels de guerre à simples ingrats. Remarquez, vous vous améliorez."
Domino ne l'avait pas ménagé dans ses paroles, mais il avait laissé faire, parce qu'elle l'avait bien méritée, au fond, après toute cette aide apportée pour envoyer Dracula en enfer. Mais lorsqu'il regarda ceux qui se révoltaient aujourd'hui, il découvrit non seulement de la rage, mais aussi de la peur. Ils avaient raisons, mais ce n'était pas une manière de regarder leur roi. Il songea à en embarquer un, pour l'exemple, mais ce n'était pas réellement juste pour la mutante qui s'était battu pour eux, malgré leur réaction énervée, contre toute attente. Ce serait un coup à la faire revenir, plus féroce que jamais. Non pas qu'il en ai peur, mais lui même ne voulait pas contrarier ses relations avec Krakoa. Et il ne la connaissait pas assez pour savoir si, en animal blessée, elle pourrait tenter un tout pour le tout et se battre jusqu'à la mort, détériorant, et disons le annulant sans doute ses relations avec les mutants. Ce serait même une nouvelle guerre qui pourrait se déclencher. Malgré tout, si ces derniers provoquaient des attentats dans toute la Transylvanie ... Elle en serait la première responsable, car la décision logique venait à annihiler les traîtres ici et maintenant. Mais soit. Il accorderait, pour son effort, le bénéfice du doute. Et pour lui même. Afin de modifier sa façon de faire. D'être différent.
Petit à petit.
Il laissa alors les véhicules faire demi tour, et il s'envola, afin de reprendre son travail, chargé ... en cette période de transition
- HJ:
Merci à toi, c'était très cool !
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| | Re: [Transylvanie] Un tyran en chasse un autre | |
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